Dans sa besace, un diplôme de l’EHESS. À son arc, quelques cordes et sur sa tête, plusieurs casquettes, celle de la radio, parfois de la télé et occasionnellement de l’écrit. Sur ces brodequins qu’il ne quitte plus depuis près de vingt ans, beaucoup de poussière, essentiellement asiatique, parfois africaine, un peu d’ailleurs. Fan de René et de Simon Leys, c’est pourtant Albert Londres qui lui donne le goût des départs et des retours.
Texte © Arte
Dans sa besace, un diplôme de l’EHESS. À son arc, quelques cordes et sur sa tête, plusieurs casquettes, celle de la radio, parfois de la télé et occasionnellement de l’écrit. Sur ces brodequins qu’il ne quitte plus depuis près de vingt ans, beaucoup de poussière, essentiellement asiatique, parfois africaine, un peu d’ailleurs. Fan de René et de Simon Leys, c’est pourtant Albert Londres qui lui donne le goût des départs et des retours.
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