Andrea Pazienza est né à San Benedetto del Tronto, dans la province d'Ascoli Piceno , le 23 mai 1956, fils de Enrico Pazienza, professeur d'éducation artistique, et Giuliana Di Cretico. Il a grandi à San Severo, dans la province de Foggia, la ville natale de son père. À l'âge de douze ans, en 1968, Pazienza part étudier à Pescara, revenant presque chaque week-end à San Severo, où il continue à s'associer avec de vieux amis et à laisser des traces de son génie, entre autres choses, concepteur de la production de certains spectacles du Teatro Verdi. Dans la ville des Abruzzes il est inscrit à l'école d'art et est devenu ami avec l'auteur de la bande dessinée Tanino Liberatore. Au cours de ces années il a créé sa première bande dessinée, restée encore inédite. En 1974, il s'inscrit au DAMS de Bologne. Il vit des années de protestation liée au Mouvement de 1977, avec comme toile de fond la bande dessinée Le straordinarie avventure di Pentothal, la première œuvre publiée de Pazienza (Alter Alter, 1977). Il possède cette faculté de rencontrer d'autres dessinateurs et écrivains tels que Pier Vittorio Tondelli, Enrico Palandri (écrivain), Gian Ruggero Manzoni, Freak Antoni, Francesca Alinovi. En 1977, Filippo Scozzari a rejoint le groupe qui produit un magazine "Cannibale", fondée par Stefano Tamburini et Massimo Mattioli, que rejoindra plus tard Tanino Liberatore. De 1979 à 1981, il a collaboré à l'hebdomadaire satirique Il Male. Avec le groupe Cannibale et Vincent Sparagna, il fonde en 1980 le mensuel Frigidaire, dans les pages duquel fait son apparition Zanardi. Le partenariat avec Frigidaire révèle un Pazienza prolifique, intolérants des délais et des pressions éditoriales. Durant les premiers mois de la vie de la revue sorte des sujets et des dessins pour des dizaines d'histoires en noir et blanc, couleur, et mixtes. Parmi les personnages, Francesco Stella, L'enquêteur anonyme Pertini (pour un album spécial "conçu en trois jours", - dit Pazienza. Il a également produit des pochettes de disques, un calendrier, quelques affiches, des illustrations et des publicités. Dans leurs histoires, il travaille également avec des auteurs moins connus (Nicola Corona, Marcello D'Angelo). Il s'est consacré à l'enseignement, d'abord à l'Université libre d'Alcatraz (Santa Cristina di Gubbio), Dario Fo (dirigée par le fils Jacopo). Puis, en 1983, elle a participé à Bologne à l'École de dessin animé et Art Graphique Zio Feininger, fondée par Brolli et Igort en collaboration avec l' Arci locale, et enseigne aux côtés de Magnus , Mattotti Lorenzo, Silvio Cadelo et autres. Ici on enseigne un cours jusqu'en juin 1984 (parmi les étudiants Francesca Ghermandi, Alberto Rapisarda, Enrico Fornaroli et Sauro Turroni), décrivant l'expérience en tant que professeur quelques années plus tard dans le roman graphique Pompée. Ne se limitant pas à la bande dessinée, Pazienza signe des affiches de cinéma au cours des dernières années, des clips vidéo, des pochettes de disques (comme Robinson di Roberto Vecchioni et S.O.S brothers de Enzo Avitabile) et des campagnes de publicité. Il travaille également pour le monde du théâtre, la création d'ensembles et conception d'affiches. Si toutes ces années Pazienza se fait une grande réputation grâce à son travail, dans le même temps il s'approche de la drogue, en particulier de l'héroïne, alternant des périodes où il parvient à s'en détacher et des moments où il ne peut pas. Il s'installe à Montepulciano en 1984 et apparemment désintoxiqué, en juin 1985, il rencontre la dessinatrice Marina Comandini et, un an plus tard, l'épouse. En attendant, il continue de collaborer avec les plus grands magazines italiens de bandes dessinées, y compris "Linus" et participe à la création du mensuel Frizzer (qui est accompagné par Frigidaire). Il collabore également avec le magazine Tempi Supplementari et, en 1986, également avec "Avaj", supplément au mensuel Linus, et au supplément "Tango" du journal L'Unit , avec Zut, le magazine satirique dirigé par Vincino, et Art. Dans la nuit du 16 Juin 1988 il décède soudainement à Montepulciano. Les causes exactes de la mort n'ont pas été divulgués. Quelques jours après sa disparition, s'ouvre à Peschici la première exposition qu'il devait tenir avec son père Enrico. Il est enterré dans le cimetière de San Severo. Il avait dit à son père : "Si quelque chose m'arrive, je veux juste un peu de terre à San Severo, et un arbre sur moi".
Andrea Pazienza est né à San Benedetto del Tronto, dans la province d'Ascoli Piceno , le 23 mai 1956, fils de Enrico Pazienza, professeur d'éducation artistique, et Giuliana Di Cretico. Il a grandi à San Severo, dans la province de Foggia, la ville natale de son père. À l'âge de douze ans, en 1968, Pazienza part étudier à Pescara, revenant presque chaque week-end à San Severo, où il continue à s'associer avec de vieux amis et à laisser des traces de son génie, entre autres choses, concepteur de la production de certains spectacles du Teatro Verdi. Dans la ville des Abruzzes il est inscrit à l'école d'art et est devenu ami avec l'auteur de la bande dessinée Tanino Liberatore. Au cours de ces années il a créé sa première bande dessinée, restée encore inédite. En 1974, il s'inscrit au DAMS de Bologne. Il vit des années de protestation liée au Mouvement de 1977, avec comme toile de fond la bande dessinée Le straordinarie avventure di Pentothal, la première œuvre publiée de Pazienza (Alter Alter, 1977). Il possède cette faculté de rencontrer d'autres dessinateurs et écrivains tels que Pier Vittorio Tondelli, Enrico Palandri (écrivain), Gian Ruggero Manzoni, Freak Antoni, Francesca Alinovi. En 1977, Filippo Scozzari a rejoint le groupe qui produit un magazine "Cannibale", fondée par Stefano Tamburini et Massimo Mattioli, que rejoindra plus tard Tanino Liberatore. De 1979 à 1981, il a collaboré à l'hebdomadaire satirique Il Male. Avec le groupe Cannibale et Vincent Sparagna, il fonde en 1980 le mensuel Frigidaire, dans les pages duquel fait son apparition Zanardi. Le partenariat avec Frigidaire révèle un Pazienza prolifique, intolérants des délais et des pressions éditoriales. Durant les premiers mois de la vie de la revue sorte des sujets et des dessins pour des dizaines d'histoires en noir et blanc, couleur, et mixtes. Parmi les personnages, Francesco Stella, L'enquêteur anonyme Pertini (pour un album spécial "conçu en trois jours", - dit Pazienza. Il […]
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