Photo © Micha Margolin
Fille de diplomate, Pauline Perrolet a grandi en Afrique du Sud puis aux Comores et au Canada. Cavalière émérite, à l’adolescence, elle a songé un temps à devenir monitrice d’équitation. Après ses études à l’École Supérieure des Arts Saint-Luc à Bruxelles, Pauline Perrolet, a lancé son blog. Elle a mis son talent d’illustratrice au service de grandes marques telles qu’Orange, Canderel etc. Elle est tout étonnée de figurer aujourd’hui parmi ces « happy few » qui réussissent à vivre de leur art. Aujourd’hui, Pauline Perrolet se consacre à la BD et vit à Bruxelles. Elle s’inspire de « la vie de tous les jours » : les conversations des passagers du métro, les films, les BD (elle dit admirer des auteurs comme Claire Bretécher, Joann Sfar, Riad Satouff, Serge Bloch ou encore Sempé). Elle sort en 2010 Je peux t'appeler Jean-Pierre puis Débordée, moi? Plus jamais ! en 2013.
Texte © Babelio
Photo © Micha Margolin
Fille de diplomate, Pauline Perrolet a grandi en Afrique du Sud puis aux Comores et au Canada. Cavalière émérite, à l’adolescence, elle a songé un temps à devenir monitrice d’équitation. Après ses études à l’École Supérieure des Arts Saint-Luc à Bruxelles, Pauline Perrolet, a lancé son blog. Elle a mis son talent d’illustratrice au service de grandes marques telles qu’Orange, Canderel etc. Elle est tout étonnée de figurer aujourd’hui parmi ces « happy few » qui réussissent à vivre de leur art. Aujourd’hui, Pauline Perrolet se consacre à la BD et vit à Bruxelles. Elle s’inspire de « la vie de tous les jours » : les conversations des passagers du métro, les films, les BD (elle dit admirer des auteurs comme Claire Bretécher, Joann Sfar, Riad Satouff, Serge Bloch ou encore Sempé). Elle sort en 2010 Je peux t'appeler Jean-Pierre puis Débordée, moi? Plus jamais ! en 2013.
Texte © Babelio