Michel Rietsch est né à Strasbourg en 1956, mais a grandi non loin, à Geispolsheim. Ce village agricole abritait également son grand-père maternel qui, à grands coups de philosophie de comptoir, l'éduqua pour en faire un Alsacien reconnaissant. Au cours d'une scolarité qui se déroulait en filigrane d'autres prérogatives plus bucoliques, le jeune Michel apprit néanmoins l'existence de Rabelais, de Stendhal, et plus tard celles de Henri de Monfreid, de Curwood, ainsi que celle de Jack London. Ce sont véritablement les écrits de ces derniers qui baliseront ses rêves de voyages et de liberté. À l'âge de quatorze ans, il entrait en apprentissage au restaurant de l'Aubette situé au bord de la place du général Kléber, pour y apprendre le métier de cuisinier. Ce qui fut fait. Un beau jour, le toujours jeune Michel embarqua à bord de cargos au long cours qui l'emmèneront dans l'Océan indien, notamment, mais aussi en Afrique et au Moyen-Orient. Après des aventures malgaches, réunionnaises, et d'autres, il revint enfin sur la terre de ses ancêtres qui ne l'attendaient déjà plus. C'est armé de solides convictions hédonistes - ne sachant se servir ni de fourches ni de bêches - qu'il se réinstalla en Alsace, soit dix-sept ans plus tard. Avec un acharnement dont il n'était pas coutumier, il se mit à dispenser le peu de savoir culinaire qu'il avait la présomption de détenir, et ce dans quelques restaurants aussi traditionnels que locaux qu'il monta et démonta, au gré des aléas et des humeurs. Michel, un peu plus âgé désormais, se persuada d'être davantage possédé par l'abécédaire. Il entama alors un marathon contre son inculture. Il court toujours. Courant novembre 2000, les Éditions Oberlin, certainement sous l'effet de la surprise, publient son roman d'aventures intitulé : Moi, Nuage Blanc l'Alsacien.
Michel Rietsch est né à Strasbourg en 1956, mais a grandi non loin, à Geispolsheim. Ce village agricole abritait également son grand-père maternel qui, à grands coups de philosophie de comptoir, l'éduqua pour en faire un Alsacien reconnaissant. Au cours d'une scolarité qui se déroulait en filigrane d'autres prérogatives plus bucoliques, le jeune Michel apprit néanmoins l'existence de Rabelais, de Stendhal, et plus tard celles de Henri de Monfreid, de Curwood, ainsi que celle de Jack London. Ce sont véritablement les écrits de ces derniers qui baliseront ses rêves de voyages et de liberté. À l'âge de quatorze ans, il entrait en apprentissage au restaurant de l'Aubette situé au bord de la place du général Kléber, pour y apprendre le métier de cuisinier. Ce qui fut fait. Un beau jour, le toujours jeune Michel embarqua à bord de cargos au long cours qui l'emmèneront dans l'Océan indien, notamment, mais aussi en Afrique et au Moyen-Orient. Après des aventures malgaches, réunionnaises, et d'autres, il revint enfin sur la terre de ses ancêtres qui ne l'attendaient déjà plus. C'est armé de solides convictions hédonistes - ne sachant se servir ni de fourches ni de bêches - qu'il se réinstalla en Alsace, soit dix-sept ans plus tard. Avec un acharnement dont il n'était pas coutumier, il se mit à dispenser le peu de savoir culinaire qu'il avait la présomption de détenir, et ce dans quelques restaurants aussi traditionnels que locaux qu'il monta et démonta, au gré des aléas et des humeurs. Michel, un peu plus âgé désormais, se persuada d'être davantage possédé par l'abécédaire. Il entama alors un marathon contre son inculture. Il court toujours. Courant novembre 2000, les Éditions Oberlin, certainement sous l'effet de la surprise, publient son roman d'aventures intitulé : Moi, Nuage Blanc l'Alsacien.