Vasco Brondi se fait remarquer dans le paysage musical italien grâce au projet artistique Le luci della centrale elettrica (Les lumières de la centrale électrique). L’écrivain Marco Lodoli écrit de lui : « Voilà un artiste qui sait traduire en musique et en paroles l’univers liquide des jeunes de vingt ans, les chutes d’eau claire et les marais boueux : il s’appelle Vasco Brondi ». Son premier album, Canzoni da spiaggia deturpata (Chansons de plage défigurée), sorti en 2008, reçoit plusieurs prix dont le prestigieux Targa Tenco de la meilleure première œuvre. En 2010, Brondi entame sa collaboration avec Andrea Bruno en lui proposant de réaliser la pochette et le livret de son album Per ora noi la chiameremo felicità (Pour l’instant, nous allons l’appeler bonheur). En 2011, il participe à la tournée de Jovanotti et publie un troisième CD, C’eravamo abbastanza amati (Nous nous sommes plutôt aimés), recueil de chansons live et d’inédits.
Texte © Rackam
Vasco Brondi se fait remarquer dans le paysage musical italien grâce au projet artistique Le luci della centrale elettrica (Les lumières de la centrale électrique). L’écrivain Marco Lodoli écrit de lui : « Voilà un artiste qui sait traduire en musique et en paroles l’univers liquide des jeunes de vingt ans, les chutes d’eau claire et les marais boueux : il s’appelle Vasco Brondi ». Son premier album, Canzoni da spiaggia deturpata (Chansons de plage défigurée), sorti en 2008, reçoit plusieurs prix dont le prestigieux Targa Tenco de la meilleure première œuvre. En 2010, Brondi entame sa collaboration avec Andrea Bruno en lui proposant de réaliser la pochette et le livret de son album Per ora noi la chiameremo felicità (Pour l’instant, nous allons l’appeler bonheur). En 2011, il participe à la tournée de Jovanotti et publie un troisième CD, C’eravamo abbastanza amati (Nous nous sommes plutôt aimés), recueil de chansons live et d’inédits.
Texte © Rackam