Né en 1971, David Cénou réside toujours dans ce Lot-et-Garonne qui l’a vu naître. Il lui a fallu attendre ses 28 ans pour (re)découvrir la peinture et donc la quarantaine pour publier sa première bande dessinée, Mirador, tête de mort (La Boîte à Bulles). Comme il le raconte sans détour dans cet ouvrage autobiographique, le cœur de David a d’abord penché vers la musique, et en particulier la musique skinhead. Pris dans tous les excès associés à une telle pratique (alcool, défilés provocateurs, bastons…), il lui faudra quelques années pour chasser ses démons et retrouver une vie stable et équilibrée. Il est désormais aide-soignant et bientôt, espérons-le, auteur de bande dessinée reconnu !
Texte © La boîte à bulles
Né en 1971, David Cénou réside toujours dans ce Lot-et-Garonne qui l’a vu naître. Il lui a fallu attendre ses 28 ans pour (re)découvrir la peinture et donc la quarantaine pour publier sa première bande dessinée, Mirador, tête de mort (La Boîte à Bulles). Comme il le raconte sans détour dans cet ouvrage autobiographique, le cœur de David a d’abord penché vers la musique, et en particulier la musique skinhead. Pris dans tous les excès associés à une telle pratique (alcool, défilés provocateurs, bastons…), il lui faudra quelques années pour chasser ses démons et retrouver une vie stable et équilibrée. Il est désormais aide-soignant et bientôt, espérons-le, auteur de bande dessinée reconnu !
Texte © La boîte à bulles