Artiste de la fin du XXe siècle, avec un papa reconnu dans le monde de la BD, une forte tendance à voir les choses en forme de pop-art, il y avait au départ beaucoup de possibilités et autant d’obstacles pour Dino Alexandre Attanasio (né en 1958). Non seulement il est peintre, graphiste, graveur et céramiste, mais il a abordé les domaines de la publicité et de l’infographie... Il a suivi, parallèlement et comme pour ne rien omettre, une formation de linguiste et traducteur. Il a exposé des peintures dans les années ‘90 et son regard est axé sur tout ce visuel qui envahit nos vies. Images TV, héros-icones purs et durs et en même temps très fragiles, son art part sur une série de voies parallèles. Il décroche de la réalité pour créer son propre royaume, détourne les slogans publicitaires et le visiteur reste confondu. Dans des couleurs volontiers acides, se créent des personnages qui peu à peu vont envahir les toiles. L’environnement urbain est presque réel mais un rien, un détail verse dans l’absurde ou le lyrique. Influence de David Lynch, dit-il. En tous cas, influence de cette vague américaine qui est née à la factory de Warhol et ne fit que croître et embellir durant les années suivantes. À travers le pinceau de l’artiste, le temps a basculé, l’histoire se lit en images et pour beaucoup de visiteurs, il existerait un fond musical . On ne l’entend pas mais il est dans l’autre dimension, celle où s’inscrivent les rêves d’enfants (de tous les âges). Dino Alexandre Attanasio a exposé en Chine, aux États-Unis.
Artiste de la fin du XXe siècle, avec un papa reconnu dans le monde de la BD, une forte tendance à voir les choses en forme de pop-art, il y avait au départ beaucoup de possibilités et autant d’obstacles pour Dino Alexandre Attanasio (né en 1958). Non seulement il est peintre, graphiste, graveur et céramiste, mais il a abordé les domaines de la publicité et de l’infographie... Il a suivi, parallèlement et comme pour ne rien omettre, une formation de linguiste et traducteur. Il a exposé des peintures dans les années ‘90 et son regard est axé sur tout ce visuel qui envahit nos vies. Images TV, héros-icones purs et durs et en même temps très fragiles, son art part sur une série de voies parallèles. Il décroche de la réalité pour créer son propre royaume, détourne les slogans publicitaires et le visiteur reste confondu. Dans des couleurs volontiers acides, se créent des personnages qui peu à peu vont envahir les toiles. L’environnement urbain est presque réel mais un rien, un détail verse dans l’absurde ou le lyrique. Influence de David Lynch, dit-il. En tous cas, influence de cette vague américaine qui est née à la factory de Warhol et ne fit que croître et embellir durant les années suivantes. À travers le pinceau de l’artiste, le temps a basculé, l’histoire se lit en images et pour beaucoup de visiteurs, il existerait un fond musical . On ne l’entend pas mais il est dans l’autre dimension, celle où s’inscrivent les rêves d’enfants (de tous les âges). Dino Alexandre Attanasio a exposé en Chine, aux États-Unis.