Né en 1955 au sein d’une famille Britto-vendéenne comme il le rappelle souvent, donc biculturelle, Reynald Secher a fait toute sa scolarité au Lycée Saint-Sauveur de Redon dont il a tiré une culture classique riche et extrêmement diverse grâce à un enseignement rigoureux et à des enseignants originaux et brillants comme le professeur d’histoire François Marquer, plus connu comme écrivain sous le nom d’Erlannig. Esprit curieux et pluriel, il poursuit ses études dans l’enseignement supérieur où il obtient un certain nombre de diplômes comme une maîtrise d’A.E.S. gestion des entreprises, une licence d’histoire à Rennes II, un D.E.A. de sciences politiques à Rennes I, et un doctorat d’État à Paris IV Sorbonne. Passionné d’archéologie, il a fait un certain nombre de chantiers dont un à Édimbourg et un autre à la cité d’Alet, à Saint-Malo, sous la direction du professeur Loïc Langouet. Étudiant ambitieux, il a travaillé une année aux U.S.A. comme directeur du personnel d'un hôtel. Pour financer ses recherches dans le cadre de ses doctorats de troisième cycle et d’État, il devient enseignant d’anglais, puis d’histoire et géographie dans l’enseignement secondaire d’où il doit démissionner à la suite de la publication de son ouvrage sur le Génocide franco-français : la Vendée-Vengé, publié aux P.U.F., puis de droit constitutionnel et de macro-économie dans l’enseignement supérieur. Directeur de communication du conseil régional du Poitou-Charentes présidé par le docteur Louis Fruchard, maire de Mauléon, en 1989, il revient à Rennes pour y fonder une famille. Tout en dirigeant la maison d’édition, il poursuit ses recherches scientifiques en se spécialisant dans la notion de résistance. Un thème lui tient particulièrement à cœur : la manipulation de la mémoire d’où son dernier livre : Vendée, du génocide au mémoricide, paru aux éditions du Cerf, qui après un vif succès en France, a été traduit à l’étranger comme un certain nombre de ses ouvrages.
Texte © R.S.E.
Né en 1955 au sein d’une famille Britto-vendéenne comme il le rappelle souvent, donc biculturelle, Reynald Secher a fait toute sa scolarité au Lycée Saint-Sauveur de Redon dont il a tiré une culture classique riche et extrêmement diverse grâce à un enseignement rigoureux et à des enseignants originaux et brillants comme le professeur d’histoire François Marquer, plus connu comme écrivain sous le nom d’Erlannig. Esprit curieux et pluriel, il poursuit ses études dans l’enseignement supérieur où il obtient un certain nombre de diplômes comme une maîtrise d’A.E.S. gestion des entreprises, une licence d’histoire à Rennes II, un D.E.A. de sciences politiques à Rennes I, et un doctorat d’État à Paris IV Sorbonne. Passionné d’archéologie, il a fait un certain nombre de chantiers dont un à Édimbourg et un autre à la cité d’Alet, à Saint-Malo, sous la direction du professeur Loïc Langouet. Étudiant ambitieux, il a travaillé une année aux U.S.A. comme directeur du personnel d'un hôtel. Pour financer ses recherches dans le cadre de ses doctorats de troisième cycle et d’État, il devient enseignant d’anglais, puis d’histoire et géographie dans l’enseignement secondaire d’où il doit démissionner à la suite de la publication de son ouvrage sur le Génocide franco-français : la Vendée-Vengé, publié aux P.U.F., puis de droit constitutionnel et de macro-économie dans l’enseignement supérieur. Directeur de communication du conseil régional du Poitou-Charentes présidé par le docteur Louis Fruchard, maire de Mauléon, en 1989, il revient à Rennes pour y fonder une famille. Tout en dirigeant la maison d’édition, il poursuit ses recherches scientifiques en se spécialisant dans la notion de résistance. Un thème lui tient particulièrement à cœur : la manipulation de la mémoire d’où son dernier livre : Vendée, du génocide au mémoricide, paru aux éditions du Cerf, qui après un vif succès en France, a été traduit à l’étranger comme un certain nombre de ses ouvrages.
Texte © R.S.E.