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Issu de l’École européenne supérieure de l’image (EESI) d’Angoulême, Hugo Bogo est un tout jeune auteur. Il signe avec Le Curé du Diable (sortie mars 2013) sa première réalisation professionnelle. Le dessin est une passion depuis sa tendre enfance. Originaire de Nice, il est le neveu de Jacques Ferrandez et a eu souvent l’occasion de dessiner avec Pierre, son cousin. Son goût se porte pour le dessin classique tout en utilisant toutes sortes de techniques des plus traditionnelles aux plus modernes, et notamment - génération oblige - l’outil informatique. Il empreinte beaucoup à la peinture, art qu’il affectionne plus que tout et où il admire les plus grands de Velasquez à David. C’est le métier qu’il aimerait exercer. Mais la bande dessinée lui paraît une voie pour y arriver. Déjà expérimenté, il a travaillé quelques mois déjà - de juin 2008 à mars 2009 - dans un studio de dessin animé pour participer au film d’animation tiré du Chat du Rabbin de Joann Sfar et interrompu pour ce faire ses études à l’Ecole européenne supérieure de l’image d’Angoulême. Ses réalisations avec un geste ample et précis témoignent une exceptionnelle maturité. Sa vivacité et son ouverture d’esprit en font d’ailleurs un garçon qui n’hésite pas à se poser des questions et à les approfondir avec intelligence. Avec son petit sourire malicieux, Hugo Bogo dit lui-même ne pas avoir ce côté décalé qu’ont parfois ses pairs à l’Ecole des Beaux-arts d’Angoulême où il regrette que le classicisme ne soit pas prisé. En tout cas, son exposition scotche les visiteurs et confirme la pertinence de son orientation de carrière.
Issu de l’École européenne supérieure de l’image (EESI) d’Angoulême, Hugo Bogo est un tout jeune auteur. Il signe avec Le Curé du Diable (sortie mars 2013) sa première réalisation professionnelle. Le dessin est une passion depuis sa tendre enfance. Originaire de Nice, il est le neveu de Jacques Ferrandez et a eu souvent l’occasion de dessiner avec Pierre, son cousin. Son goût se porte pour le dessin classique tout en utilisant toutes sortes de techniques des plus traditionnelles aux plus modernes, et notamment - génération oblige - l’outil informatique. Il empreinte beaucoup à la peinture, art qu’il affectionne plus que tout et où il admire les plus grands de Velasquez à David. C’est le métier qu’il aimerait exercer. Mais la bande dessinée lui paraît une voie pour y arriver. Déjà expérimenté, il a travaillé quelques mois déjà - de juin 2008 à mars 2009 - dans un studio de dessin animé pour participer au film d’animation tiré du Chat du Rabbin de Joann Sfar et interrompu pour ce faire ses études à l’Ecole européenne supérieure de l’image d’Angoulême. Ses réalisations avec un geste ample et précis témoignent une exceptionnelle maturité. Sa vivacité et son ouverture d’esprit en font d’ailleurs un garçon qui n’hésite pas à se poser des questions et à les approfondir avec intelligence. Avec son petit sourire malicieux, Hugo Bogo dit lui-même ne pas avoir ce côté décalé qu’ont parfois ses pairs à l’Ecole des Beaux-arts d’Angoulême où il regrette que le classicisme ne soit pas prisé. En tout cas, son exposition scotche les visiteurs et confirme la pertinence de son orientation de carrière.
Sa Bibliographie
Les tableaux synthéthiques ci-dessous peuvent être faussés par des éditions anniversaires (souvent post-mortem). Ils ne tiennent pas compte des autres pseudonymes sous lequel signe cet auteur.