Née en Provence, à Toulon, Claire Guillaume est aussi par son grand-père et sa mère originaire du Cirque de Salazie et de Saint-André (île de la Réunion). Élève au collège, puis au lycée de Saint-Benoît, elle choisit l’enseignement après une licence de Lettres Modernes à l’Université de La Réunion. Ayant ensuite opté pour le Capes de documentation, elle exerce depuis 1993 la profession de documentaliste dans un collège du Port. Membre de différentes associations d’écrivains, Claire Guillaume est rédactrice en chef de la revue littéraire Artquivi à l’Udir (Union pour la Défense de l’Identité Réunionnaise) de 1983 à 1985, puis elle devient membre du comité de rédaction de Tatou, autre revue culturelle. Elle rejoint l’Association des Écrivains Réunionnais (ADER) en 1990, ainsi que les revues Ti Kabar et Vois. En 2001, elle rejoint les Editions K’A. travaillant pour la langue créole et la littérature réunionnaise. Les embouteillages à Saint-Denis témoignent du fait que les Réunionnais aiment se déplacer en voiture; Claire Guillaume, par contre, préfère prendre le bus et surtout marcher, beaucoup, dans les rues. Observatrice du quotidien et du hasard, de l’ordinaire et de l’extraordinaire, les promenades permettent à la poétesse d’emmagasiner les facettes des mondes à sa portée: «Je fais feu de tous bois et provision d’images quotidiennement. J’écris à partir de ce que j’observe et je suis une contemplatrice. Tout m’intéresse: gens, personnages, objets, paysages, pubs, mots, sons, croyances, actualités, infi nis, infi mes...». Contemplative, elle se consacre de plus en plus à un souci de recherche et de travail personnels dans son écriture. Claire Guillaume vit en compagnie de son époux dans une vieille maison créole en perpétuel devenir, en ville de Saint-Denis de la Réunion, avec un vieux chat, une petite chienne, des matériaux de construction et des plantes indociles.
Née en Provence, à Toulon, Claire Guillaume est aussi par son grand-père et sa mère originaire du Cirque de Salazie et de Saint-André (île de la Réunion). Élève au collège, puis au lycée de Saint-Benoît, elle choisit l’enseignement après une licence de Lettres Modernes à l’Université de La Réunion. Ayant ensuite opté pour le Capes de documentation, elle exerce depuis 1993 la profession de documentaliste dans un collège du Port. Membre de différentes associations d’écrivains, Claire Guillaume est rédactrice en chef de la revue littéraire Artquivi à l’Udir (Union pour la Défense de l’Identité Réunionnaise) de 1983 à 1985, puis elle devient membre du comité de rédaction de Tatou, autre revue culturelle. Elle rejoint l’Association des Écrivains Réunionnais (ADER) en 1990, ainsi que les revues Ti Kabar et Vois. En 2001, elle rejoint les Editions K’A. travaillant pour la langue créole et la littérature réunionnaise. Les embouteillages à Saint-Denis témoignent du fait que les Réunionnais aiment se déplacer en voiture; Claire Guillaume, par contre, préfère prendre le bus et surtout marcher, beaucoup, dans les rues. Observatrice du quotidien et du hasard, de l’ordinaire et de l’extraordinaire, les promenades permettent à la poétesse d’emmagasiner les facettes des mondes à sa portée: «Je fais feu de tous bois et provision d’images quotidiennement. J’écris à partir de ce que j’observe et je suis une contemplatrice. Tout m’intéresse: gens, personnages, objets, paysages, pubs, mots, sons, croyances, actualités, infi nis, infi mes...». Contemplative, elle se consacre de plus en plus à un souci de recherche et de travail personnels dans son écriture. Claire Guillaume vit en compagnie de son époux dans une vieille maison créole en perpétuel devenir, en ville de Saint-Denis de la Réunion, avec un vieux chat, une petite chienne, des matériaux de construction et des plantes indociles.