Léon Maret aurait pu être autre chose qu’un dessinateur de talent. Jeune, de la fougue plein les cheveux et une guitare dans les mains, il connaît un petit succès avec son groupe de punk Les Betteraves. Assagi, il quitte Belleville, part étudier à Strasbourg, s’y gomine les cheveux et co-fonde en 2009 le très classieux magazine Belles Illustrations. C’est à cette époque, au hasard d’un soir d’été caniculaire, que son entraîneur de boxe française propose aux curieux de découvrir un autre sport ; Léon acquiesce, le regarde fouiller dans une réserve, puis revenir au gymnase, des cannes entre les bras… Cette découverte l’amènera à publier, au printemps 2012, le révolutionnaire Canne de fer et Lucifer, aux éditions 2024.rnrnIl est également l’auteur de Laisse faire les sphères (Alain Beaulet, 2010) et Course de bagnole (Les Requins Marteaux, 2012).
Texte et photo © 2024
Léon Maret aurait pu être autre chose qu’un dessinateur de talent. Jeune, de la fougue plein les cheveux et une guitare dans les mains, il connaît un petit succès avec son groupe de punk Les Betteraves. Assagi, il quitte Belleville, part étudier à Strasbourg, s’y gomine les cheveux et co-fonde en 2009 le très classieux magazine Belles Illustrations. C’est à cette époque, au hasard d’un soir d’été caniculaire, que son entraîneur de boxe française propose aux curieux de découvrir un autre sport ; Léon acquiesce, le regarde fouiller dans une réserve, puis revenir au gymnase, des cannes entre les bras… Cette découverte l’amènera à publier, au printemps 2012, le révolutionnaire Canne de fer et Lucifer, aux éditions 2024.rnrnIl est également l’auteur de Laisse faire les sphères (Alain Beaulet, 2010) et Course de bagnole (Les Requins Marteaux, 2012).
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