Alain Bernard Marchand est né à Shawinigan Sud en 1958. En 1971, il s’installe avec sa famille à Port Elgin, sur les rives du lac Huron, en Ontario. Il choisit de poursuivre ses études universitaires en français et obtient en 1980 un baccalauréat avec spécialisation en langue et littérature françaises de l’Université d’Ottawa. C’est alors qu’il publie un premier recueil de poèmes aux éditions de l’Université d’Ottawa, en collaboration avec Claire Rochon. En 1981, l’Université de Grenoble III lui octroie une maîtrise de lettres modernes. Son mémoire de maîtrise porte sur Les Manuscrits de Pauline Archange de Marie-Claire Blais. Suivront des recherches à l’Institut d’études théâtrales de Paris. En 1989, il obtient un doctorat ès lettres françaises de l’Université d’Ottawa. Sa thèse porte sur le jeu des rôles dans la dramaturgie de Jean Genet. Pendant plusieurs années, Alain Bernard Marchand sera chargé de cours au département des lettres françaises de l’Université d’Ottawa, avant d’intégrer la fonction publique en 1986, où il occupe successivement les postes de rédacteur principal et de directeur des Services de rédaction et de relations avec les médias au ministère du Patrimoine canadien. En 2005, il accède au poste de conseiller principal et de rédacteur de discours de la gouverneure générale du Canada, la très honorable Michaëlle Jean, pour la durée de son mandat. Il a accepté en novembre 2010 le poste de conseiller principal au Secteur des affaires publiques et régionales du ministère du Patrimoine canadien. Ses livres lui valent plusieurs distinctions, dont le prestigieux prix Trillium en 1996. Son essai Tintin au pays de la ferveur lui vaut d’être finaliste aux prix littéraires du Gouverneur général. En 1997, il est lauréat canadien dans le cadre de la troisième édition du volet culturel des Jeux de la francophonie qui se tiennent à Madagascar. Il est invité d’honneur au Salon du livre de l’Outaouais en 1998. Il effectue également la même année une tournée littéraire en Suède, à l’invitation de l’Union des écrivains suédois. En 2000, il accepte l’offre de l’Université d’Ottawa d’être écrivain en résidence et donne un cours de création littéraire au département des lettres françaises. Il habite Ottawa depuis 1976. Il dit écrire pour retrouver intacte cette part de lui-même qui résiste au raisonnement. L’écriture est pour lui la revanche du corps contre la tyrannie des systèmes.
Alain Bernard Marchand est né à Shawinigan Sud en 1958. En 1971, il s’installe avec sa famille à Port Elgin, sur les rives du lac Huron, en Ontario. Il choisit de poursuivre ses études universitaires en français et obtient en 1980 un baccalauréat avec spécialisation en langue et littérature françaises de l’Université d’Ottawa. C’est alors qu’il publie un premier recueil de poèmes aux éditions de l’Université d’Ottawa, en collaboration avec Claire Rochon. En 1981, l’Université de Grenoble III lui octroie une maîtrise de lettres modernes. Son mémoire de maîtrise porte sur Les Manuscrits de Pauline Archange de Marie-Claire Blais. Suivront des recherches à l’Institut d’études théâtrales de Paris. En 1989, il obtient un doctorat ès lettres françaises de l’Université d’Ottawa. Sa thèse porte sur le jeu des rôles dans la dramaturgie de Jean Genet. Pendant plusieurs années, Alain Bernard Marchand sera chargé de cours au département des lettres françaises de l’Université d’Ottawa, avant d’intégrer la fonction publique en 1986, où il occupe successivement les postes de rédacteur principal et de directeur des Services de rédaction et de relations avec les médias au ministère du Patrimoine canadien. En 2005, il accède au poste de conseiller principal et de rédacteur de discours de la gouverneure générale du Canada, la très honorable Michaëlle Jean, pour la durée de son mandat. Il a accepté en novembre 2010 le poste de conseiller principal au Secteur des affaires publiques et régionales du ministère du Patrimoine canadien. Ses livres lui valent plusieurs distinctions, dont le prestigieux prix Trillium en 1996. Son essai Tintin au pays de la ferveur lui vaut d’être finaliste aux prix littéraires du Gouverneur général. En 1997, il est lauréat canadien dans le cadre de la troisième édition du volet culturel des Jeux de la francophonie qui se tiennent à Madagascar. Il est invité d’honneur au Salon du livre de l’Outaouais en 1998. Il effectue également la même année une tournée littéraire […]