Passionné de cinéma et de science-fiction depuis l'enfance, Gérald Frydman s'oriente d'abord vers le dessin pour finir par commencer sa carrière dans la photographie avec son ami Richard Olivier. Au début des années 1960, les deux compères font des sortes de romans-photos-reportages pour des revues sur le rock. Présenté au journal Spirou, le concept est modifié et le dessinateur intervient directement dans les croquis. Sur cette lancée, toujours avec son complice, ils se mettent à travailler sur des gags animés pour la RTB traitant de l'actualité. S'en suit un petit film, "Scarabus", ce qui lui permet petit à petit d'entrer dans le monde du cinéma où il exerce en tant qu'assistant ou scénariste. Après quelques courts métrages et participations diverses, le voilà récompensé pour "Agulana", film d'animation. L'adaptation du "Roman de Jessie Jane" lui permet de changer de registre. Viennent ensuite "Alphah" et "Les Effaceurs" en 1991, où le thème d'une société est présent. "Le Cheval de fer" et "La Photographie" démontrent l'influence d'Hitchcock et de Jules Verne chez Gérald Frydman. Il signe encore "J' ai eu dur !" en 1996 et "La Séquence Silverstein" en 2003.
Passionné de cinéma et de science-fiction depuis l'enfance, Gérald Frydman s'oriente d'abord vers le dessin pour finir par commencer sa carrière dans la photographie avec son ami Richard Olivier. Au début des années 1960, les deux compères font des sortes de romans-photos-reportages pour des revues sur le rock. Présenté au journal Spirou, le concept est modifié et le dessinateur intervient directement dans les croquis. Sur cette lancée, toujours avec son complice, ils se mettent à travailler sur des gags animés pour la RTB traitant de l'actualité. S'en suit un petit film, "Scarabus", ce qui lui permet petit à petit d'entrer dans le monde du cinéma où il exerce en tant qu'assistant ou scénariste. Après quelques courts métrages et participations diverses, le voilà récompensé pour "Agulana", film d'animation. L'adaptation du "Roman de Jessie Jane" lui permet de changer de registre. Viennent ensuite "Alphah" et "Les Effaceurs" en 1991, où le thème d'une société est présent. "Le Cheval de fer" et "La Photographie" démontrent l'influence d'Hitchcock et de Jules Verne chez Gérald Frydman. Il signe encore "J' ai eu dur !" en 1996 et "La Séquence Silverstein" en 2003.