Pierre René Émile Marie Péron, né à Brest le 5 octobre 1905, mort à Brest le 27 mars 1988, est un illustrateur, décorateur, peintre, graveur, sculpteur, caricaturiste, maquettiste, cinéaste et écrivain français. « L'art est synonyme de recherche. Je n'aime pas les routes droites. Je leur préfère les petits chemins qui me conduisent, en musardant, vers une même destination. Pour réaliser mon œuvre, j'ai utilisé des techniques diverses, avec différentes tendances, je peux dire que mon expression est un éventail aux mille plis. Je suis ainsi. » « C'est mon tempérament. Au risque de déconcerter les critiques je saute du coq à l'âne avec joie. Dispersion me direz-vous ! Peut-être, mais aussi je veux croire Pierre Jakez Hélias quand il écrit : "L'étonnant de tout cela, c'est qu'à travers de multiples facettes non point successives, mais instantanées, non point rivales mais complémentaires, il demeure une impression d'unité qui vient tout simplement du fait que l'artiste qui est derrière ne cesse de se vérifier lui-même à travers ses apparentes dispersions." »
Pierre René Émile Marie Péron, né à Brest le 5 octobre 1905, mort à Brest le 27 mars 1988, est un illustrateur, décorateur, peintre, graveur, sculpteur, caricaturiste, maquettiste, cinéaste et écrivain français. « L'art est synonyme de recherche. Je n'aime pas les routes droites. Je leur préfère les petits chemins qui me conduisent, en musardant, vers une même destination. Pour réaliser mon œuvre, j'ai utilisé des techniques diverses, avec différentes tendances, je peux dire que mon expression est un éventail aux mille plis. Je suis ainsi. » « C'est mon tempérament. Au risque de déconcerter les critiques je saute du coq à l'âne avec joie. Dispersion me direz-vous ! Peut-être, mais aussi je veux croire Pierre Jakez Hélias quand il écrit : "L'étonnant de tout cela, c'est qu'à travers de multiples facettes non point successives, mais instantanées, non point rivales mais complémentaires, il demeure une impression d'unité qui vient tout simplement du fait que l'artiste qui est derrière ne cesse de se vérifier lui-même à travers ses apparentes dispersions." »