Autodidacte, Yves Bordes publie ses premières histoires complètes aux éditions Fleurus, dès 1978, dans Djin, Formule 1 et Fripounet. Toujours pour ces éditions, il collabore à la revue Historique, pour laquelle il dessine de nombreux posters des enquêtes écrites par André Castelot, ainsi que divers courts récits. En 1980, il participe à Toboggan avec les séries Vanille et Chocolat, puis Kangui. Parallèlement, il figure au sommaire du magazine Spatial et devient, à partir de 1981, l'un des illustrateurs attitrés du journal Sud-Ouest. Tout en réalisant de nombreuses campagnes de communication, il prépublie en 1983, dans Char!ie Mensuel, les Mangeurs d'espoir, premier épisode de Foc. Cette série réaliste écrite par René Durand se poursuit ensuite dans Pilote et en albums chez Dargaud puis Soleil Productions (elle est par la suite reprise graphiquement par Amblevert). De 1984 à 1985, il dessine Le roi a 100 ans, une bande dessinée sur le carnaval de Nice. Toujours en 1985, sur des scénarios de Marcel Uderzo et Jean Mabire, il conçoit la Grande Guerre et la Marne et Verdun, dans la collection «les Grandes Batailles de l'Histoire» (éditions Larousse). Un an plus tard, une fois de plus avec René Durand, il crée le Nain Rouge, une série historique, se déroulant sous la chouannerie et éditée directement en recueils par Lavauzelle puis poursuivie, à partir de 1993, chez Soleil Productions. En 1989, il adapte le Gorille pour l'ouvrage collectif Brassens, œuvres complétes, tome I (éditions Vents d'Ouest). Yves Bordes réalise ensuite plusieurs portfolios, Green Spirit (éditions Flibustiers) et Sillons (éditions Cristal-Horizon), puis se lance en 1992 dans Oro, une aventure scénarisée et éditée par Cizia Zykë. Passant avec une remarquable facilité du style humoristique au traité réaliste, Yves Bordes est également un coloriste hors-pair, ses planches sont à ce titre réalisées en couleurs directes, sans le bleu.
Autodidacte, Yves Bordes publie ses premières histoires complètes aux éditions Fleurus, dès 1978, dans Djin, Formule 1 et Fripounet. Toujours pour ces éditions, il collabore à la revue Historique, pour laquelle il dessine de nombreux posters des enquêtes écrites par André Castelot, ainsi que divers courts récits. En 1980, il participe à Toboggan avec les séries Vanille et Chocolat, puis Kangui. Parallèlement, il figure au sommaire du magazine Spatial et devient, à partir de 1981, l'un des illustrateurs attitrés du journal Sud-Ouest. Tout en réalisant de nombreuses campagnes de communication, il prépublie en 1983, dans Char!ie Mensuel, les Mangeurs d'espoir, premier épisode de Foc. Cette série réaliste écrite par René Durand se poursuit ensuite dans Pilote et en albums chez Dargaud puis Soleil Productions (elle est par la suite reprise graphiquement par Amblevert). De 1984 à 1985, il dessine Le roi a 100 ans, une bande dessinée sur le carnaval de Nice. Toujours en 1985, sur des scénarios de Marcel Uderzo et Jean Mabire, il conçoit la Grande Guerre et la Marne et Verdun, dans la collection «les Grandes Batailles de l'Histoire» (éditions Larousse). Un an plus tard, une fois de plus avec René Durand, il crée le Nain Rouge, une série historique, se déroulant sous la chouannerie et éditée directement en recueils par Lavauzelle puis poursuivie, à partir de 1993, chez Soleil Productions. En 1989, il adapte le Gorille pour l'ouvrage collectif Brassens, œuvres complétes, tome I (éditions Vents d'Ouest). Yves Bordes réalise ensuite plusieurs portfolios, Green Spirit (éditions Flibustiers) et Sillons (éditions Cristal-Horizon), puis se lance en 1992 dans Oro, une aventure scénarisée et éditée par Cizia Zykë. Passant avec une remarquable facilité du style humoristique au traité réaliste, Yves Bordes est également un coloriste hors-pair, ses planches sont à ce titre réalisées en couleurs directes, sans le bleu.