Né le 10 décembre 1946 à Paris. Jacques Bellenger a vécu pleinement son époque. Du temps de ses études qui devaient l'amener à s'intéresser de près à Destutt de Tracy et à ses idéologues, il se tourna vers la politique et le militantisme. Son violon d'Ingres était alors le crayon qu'il mit au service de ses causes, dans le journal de l'UNEF et diverses publication d'extrême-gauche. Puis il fit progressivement de son hobby un métier, et le métier pour lequel il avait été formé, la philosophie, un hobby. Si la distance critique du dessin élargit son horizon, pétri d'idéalisme, mais avec quelques ornières, Jacques Bellenger garde pour la politique une passion. Il illustre avec humour, férocité et quelquefois tendresse, l'actualité au "Matin de Paris", puis à "L'Unité" et à "L'Événement du Jeudi". Bellenger a été, dès la création du jopurnal, l'un des dessinateurs vedettes de "Vendredi".
Texte et photo © Éditions Vendredi
Né le 10 décembre 1946 à Paris. Jacques Bellenger a vécu pleinement son époque. Du temps de ses études qui devaient l'amener à s'intéresser de près à Destutt de Tracy et à ses idéologues, il se tourna vers la politique et le militantisme. Son violon d'Ingres était alors le crayon qu'il mit au service de ses causes, dans le journal de l'UNEF et diverses publication d'extrême-gauche. Puis il fit progressivement de son hobby un métier, et le métier pour lequel il avait été formé, la philosophie, un hobby. Si la distance critique du dessin élargit son horizon, pétri d'idéalisme, mais avec quelques ornières, Jacques Bellenger garde pour la politique une passion. Il illustre avec humour, férocité et quelquefois tendresse, l'actualité au "Matin de Paris", puis à "L'Unité" et à "L'Événement du Jeudi". Bellenger a été, dès la création du jopurnal, l'un des dessinateurs vedettes de "Vendredi".
Texte et photo © Éditions Vendredi