Photo © Manuel F. Picaud
Denis Falque est né le 12 juin 1969 à Lyon où il réside toujours. Son arrivée dans le monde de la BD est la concrétisation d’un vieux rêve d’adolescent, inspiré par Hergé, Franquin, Cabanes, ou encore Loisel. Malgré cette passion, il opte dans un premier temps pour une carrière d’illustrateur, et entre en 1987 à l’école Emile Cohl, pour trois ans. Son diplôme en poche, il travaille dans une agence de publicité pendant deux ans, où il réalise des illustrations, notamment pour le magazine Astrapi. Son retour à la BD se fait à l’occasion d’un travail de coloriste, quand il rencontre le scénariste Corbeyran. Après avoir découvert ses découpages, il décide de se lancer dans la réalisation d’une BD. Ils proposent donc au Festival d’Angoulême 1993, Graindazur, une série jeunesse qui sera publiée chez Dargaud. Avec Le Fond du Monde, toujours avec Corbeyran, il revient à la plume, qu’il affectionne davantage que le pinceau utilisé pour Graindazur. Son dessin, plus fin, s’adapte ainsi mieux à un public plus âgé. S’inspirant de Prague, il soigne l’architecture des bâtiments, avec un souci du détail visant à équilibrer son graphisme épuré. Il s’est parallèlement lancé avec Didier Convard dans la grande saga du Triangle secret chez Glénat, une série “collective” de dessinateurs qui se partagent les différentes périodes du récit à travers les âges, et dont il assure la majeure partie de l’histoire contemporaine.
Texte © Delcourt
Photo © Manuel F. Picaud
Denis Falque est né le 12 juin 1969 à Lyon où il réside toujours. Son arrivée dans le monde de la BD est la concrétisation d’un vieux rêve d’adolescent, inspiré par Hergé, Franquin, Cabanes, ou encore Loisel. Malgré cette passion, il opte dans un premier temps pour une carrière d’illustrateur, et entre en 1987 à l’école Emile Cohl, pour trois ans. Son diplôme en poche, il travaille dans une agence de publicité pendant deux ans, où il réalise des illustrations, notamment pour le magazine Astrapi. Son retour à la BD se fait à l’occasion d’un travail de coloriste, quand il rencontre le scénariste Corbeyran. Après avoir découvert ses découpages, il décide de se lancer dans la réalisation d’une BD. Ils proposent donc au Festival d’Angoulême 1993, Graindazur, une série jeunesse qui sera publiée chez Dargaud. Avec Le Fond du Monde, toujours avec Corbeyran, il revient à la plume, qu’il affectionne davantage que le pinceau utilisé pour Graindazur. Son dessin, plus fin, s’adapte ainsi mieux à un public plus âgé. S’inspirant de Prague, il soigne l’architecture des bâtiments, avec un souci du détail visant à équilibrer son graphisme épuré. Il s’est parallèlement lancé avec Didier Convard dans la grande saga du Triangle secret chez Glénat, une série “collective” de dessinateurs qui se partagent les différentes périodes du récit à travers les âges, et dont il assure la majeure partie de l’histoire contemporaine.
Texte © Delcourt