Née en 1981, Aurélie William Levaux vit et travaille à Liège. Membre du collectif liégeois Mycose, l’œuvre de l’artiste est au croisement de l’illustration, de la bande dessinée, du journal intime et de l’art contemporain. Les publications aux éditions de La Cinquième couche, Menses ante rosam en 2008 et Les Yeux du seigneur en 2010 attirent l’attention de la scène artistique contemporaine. Alliant papiers et tissus, dessins et broderies, ses ouvrages se lisent et se regardent comme un journal intime où l’artiste partage angoisses, pulsions, envies et doutes. Artiste protéiforme, Aurélie William Levaux ne cesse d’explorer de nouveaux supports comme lorsqu’elle détourne des vêtements féminins ou des décors de chambres pour enfants en y cousant ou y peignant les restes diurnes de rêves. Ses œuvres furent entre autres montrées au Musée International d’Art Modeste de Sète et à la Biennale d’Art contemporain du Havre.
Elle devient membre du collectif Mycose. En 2011, elle réalise avec Isabelle Pralong l'ouvrage Prédictions (Atrabile). En 2013, avec Moolinex, elle créé pour Atrabile Johnnychrist. En 2014, elle réalise pour le même éditeur Le Verre à moitié vide. En 2016, Atrabile publie son ouvrage autobiographique : Sisyphe, les joies du couple, portant sur sa relation avec son ancien compagnon, Moolinex. Suit, en 2018, Le tas de pierres, avec l'un de ses frères, Christophe Levaux. En 2019, elle livre Bataille (pas l'auteur) (Cambourakis). Cette même année paraît également La vie intelligente. Elle publie également Le Jour du travail, toujours en 2019. Elle a reçu, en 2018, le prix Atomium de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour l'ensemble de son œuvre.
Personnalité entière et engagée, Aurélie Levaux soutient indéfectiblement le mouvement des Gilets jaunes, depuis 2018, et occupe autant que possible le rond-point Kennedy, dit Uhoda, à Liège, depuis. Elle se refuse à tout compromis et ne craint jamais de fâcher ou d'inquiéter ses éditeurs ou ses soutiens, qu'ils soient institutionnels ou privés. Elle ne croit pas tellement qu'une seule balle, en ricochant, a transformé le président Kennedy en parcourt de golf, ni que Poutine est responsable du chômage et de la pauvreté, ni que les avions répandent des vapeurs destinées à s'assurer de nos docilités, ni que la 5G et les vaccins ARN sauveront la planète avec les SUV électriques. Elle a pourtant la foi.
Née en 1981, Aurélie William Levaux vit et travaille à Liège. Membre du collectif liégeois Mycose, l’œuvre de l’artiste est au croisement de l’illustration, de la bande dessinée, du journal intime et de l’art contemporain. Les publications aux éditions de La Cinquième couche, Menses ante rosam en 2008 et Les Yeux du seigneur en 2010 attirent l’attention de la scène artistique contemporaine. Alliant papiers et tissus, dessins et broderies, ses ouvrages se lisent et se regardent comme un journal intime où l’artiste partage angoisses, pulsions, envies et doutes. Artiste protéiforme, Aurélie William Levaux ne cesse d’explorer de nouveaux supports comme lorsqu’elle détourne des vêtements féminins ou des décors de chambres pour enfants en y cousant ou y peignant les restes diurnes de rêves. Ses œuvres furent entre autres montrées au Musée International d’Art Modeste de Sète et à la Biennale d’Art contemporain du Havre.
Elle devient membre du collectif Mycose. En 2011, elle réalise avec Isabelle Pralong l'ouvrage Prédictions (Atrabile). En 2013, avec Moolinex, elle créé pour Atrabile Johnnychrist. En 2014, elle réalise pour le même éditeur Le Verre à moitié vide. En 2016, Atrabile publie son ouvrage autobiographique : Sisyphe, les joies du couple, portant sur sa relation avec son ancien compagnon, Moolinex. Suit, en 2018, Le tas de pierres, avec l'un de ses frères, Christophe Levaux. En 2019, elle livre Bataille (pas l'auteur) (Cambourakis). Cette même année paraît également La vie intelligente. Elle publie également Le Jour du travail, toujours en 2019. Elle a reçu, en 2018, le prix Atomium de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour l'ensemble de son œuvre.
Personnalité entière et engagée, Aurélie Levaux soutient indéfectiblement le mouvement des Gilets jaunes, depuis 2018, et occupe autant que possible le rond-point Kennedy, dit Uhoda, à Liège, depuis. Elle se refuse à tout compromis et ne craint jamais de fâcher ou d'inquiéter ses éditeurs ou ses soutiens, qu'ils […]