Après être passée par l'école Estienne, l'école des Arts Décoratifs de Strasbourg, et à l'Uqam (Montréal) Aurore Petit s'installe à Paris et développe un travail d'auteur. En 2008, elle publie "Ménageries", son premier ouvrage personnel, suivront "Big Apple", et "Muuiiik!" (Thierry Magnier). Elle travaille depuis 2006 pour l'édition (Sidonie Quenouille/Rouergue, Les étranges disparitions/Actes Sud Junior, Les petits contes/Syros, par exemple) et la presse (Le Monde, Famille et Éducation, Philosophie Magasine et autres revues « société », mais aussi Milan presse et Bayard presse). Elle publie également de courtes histoires dans des revues issues de la micro-édition (Ecarquillettes, L'institut Pacôme), et s'essaie à des expériences scénographique ("Alice sous la théière", théâtre Jeune Public). Toujours à cheval entre l'adulte et l'enfance, l'univers d'Aurore Petit peut être parfois très simple et minimal, ou plus fouillé et bavard, mais toujours décalé avec un brin d'humour.
Texte et photo © Syros
Après être passée par l'école Estienne, l'école des Arts Décoratifs de Strasbourg, et à l'Uqam (Montréal) Aurore Petit s'installe à Paris et développe un travail d'auteur. En 2008, elle publie "Ménageries", son premier ouvrage personnel, suivront "Big Apple", et "Muuiiik!" (Thierry Magnier). Elle travaille depuis 2006 pour l'édition (Sidonie Quenouille/Rouergue, Les étranges disparitions/Actes Sud Junior, Les petits contes/Syros, par exemple) et la presse (Le Monde, Famille et Éducation, Philosophie Magasine et autres revues « société », mais aussi Milan presse et Bayard presse). Elle publie également de courtes histoires dans des revues issues de la micro-édition (Ecarquillettes, L'institut Pacôme), et s'essaie à des expériences scénographique ("Alice sous la théière", théâtre Jeune Public). Toujours à cheval entre l'adulte et l'enfance, l'univers d'Aurore Petit peut être parfois très simple et minimal, ou plus fouillé et bavard, mais toujours décalé avec un brin d'humour.
Texte et photo © Syros