Né le 29 septembre 1984 à Bruxelles, d'un père illustrateur dans le quotidien La Libre Belgique et d'une mère présidente de mouvement féministe, Jacques Louis baigne très tôt dans la BD franco-belge, qu'il découvre dans les pages du Journal Spirou. Ses héros préférés ont alors pour nom Le Petit Spirou ou encore Kid Paddle.
Dès neuf ans, il suit des cours d'arts plastiques. Puis, à 14 ans, Jacques Louis intègre une formation de BD en cours du soir à Woluwé-st-Pierre, dans une académie qui vit notamment passer quelques années plus tôt des auteurs comme Stuf, Janry et Tome. Il poursuit son cursus à l'École supérieure St-Luc Bruxelles, section bandes dessinées, nourrissant son imaginaire de manga, BD franco-belge, jeux vidéos et cinéma.
Jacques Louis démarre sa carrière professionnelle en 2010 dans les pages du Journal Spirou avec « Le chômeur et sa belle », auto-fiction humoristique et romantique d'abord publiée sous forme de blog et disséquant tout en finesse les temps forts et faibles d'une relation amoureuse. Avec l'appui d'un joli noyau de fans irréductibles, la série se voit également financée par le crowdfunding, via la plateforme Mymajorcompany, qui avait notamment lancé le chanteur Grégoire.
Après l'arrêt du « Chômeur et sa belle », en 2013, Jacques Louis multiplie les expériences. Inépuisable curieux, il s'essaie au dessin 3D, créé les mascottes des équipes nationales de hockey belge, travaille avec la star de télé-réalité Amélie Neten et assure le design des produits dérivés des Diables rouges. Il réalise parallèlement divers projets BD pour des universités, des banques ou des magazines.
Ce sont ses deux filles, alors âgées de 2 et 4 ans, qui lui inspirent la série autobiographique « Family Life » prépubliée dans Le journal Spirou et éditée aux Éditions Dupuis. Ce projet, à l'écriture extrêmement précise et sensible, mêle humour et émotion tout en rendant hommage au frère de Jacques Louis, disparu quelques années plus tôt.
Partageant son temps entre sa maison et un atelier bruxellois accueillant notamment Marc Dubuisson, BenBK, Benjamin Benéteau, Edgar Kosma ou encore Jean-luc Englebert, Jacques Louis poursuit « Family Life » tout en préparant d'autres projets BD ainsi qu'un court-métrage en 3D.
Auteur à l'écriture extrêmement précise, Jacques Louis fait partie de ces rares artistes complets capables de marier humour et émotion en un même récit. En témoignent « Le chômeur et sa belle » et « Family life », deux récits à tendance autobiographique prépubliés dans Le journal Spirou et suscitant autant d'éclats de rire que de larmes à l'œil. Et parfois même les deux à la fois. Jacques Louis vit et travaille à Bruxelles.
Texte © Dupuis éditions
Photo © JJ Procureur
Né le 29 septembre 1984 à Bruxelles, d'un père illustrateur dans le quotidien La Libre Belgique et d'une mère présidente de mouvement féministe, Jacques Louis baigne très tôt dans la BD franco-belge, qu'il découvre dans les pages du Journal Spirou. Ses héros préférés ont alors pour nom Le Petit Spirou ou encore Kid Paddle.
Dès neuf ans, il suit des cours d'arts plastiques. Puis, à 14 ans, Jacques Louis intègre une formation de BD en cours du soir à Woluwé-st-Pierre, dans une académie qui vit notamment passer quelques années plus tôt des auteurs comme Stuf, Janry et Tome. Il poursuit son cursus à l'École supérieure St-Luc Bruxelles, section bandes dessinées, nourrissant son imaginaire de manga, BD franco-belge, jeux vidéos et cinéma.
Jacques Louis démarre sa carrière professionnelle en 2010 dans les pages du Journal Spirou avec « Le chômeur et sa belle », auto-fiction humoristique et romantique d'abord publiée sous forme de blog et disséquant tout en finesse les temps forts et faibles d'une relation amoureuse. Avec l'appui d'un joli noyau de fans irréductibles, la série se voit également financée par le crowdfunding, via la plateforme Mymajorcompany, qui avait notamment lancé le chanteur Grégoire.
Après l'arrêt du « Chômeur et sa belle », en 2013, Jacques Louis multiplie les expériences. Inépuisable curieux, il s'essaie au dessin 3D, créé les mascottes des équipes nationales de hockey belge, travaille avec la star de télé-réalité Amélie Neten et assure le design des produits dérivés des Diables rouges. Il réalise parallèlement divers projets BD pour des universités, des banques ou des magazines.
Ce sont ses deux filles, alors âgées de 2 et 4 ans, qui lui inspirent la série autobiographique « Family Life » prépubliée dans Le journal Spirou et éditée aux Éditions Dupuis. Ce projet, à l'écriture extrêmement précise et sensible, mêle humour et émotion tout en rendant hommage au frère de Jacques Louis, disparu quelques années plus tôt.
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