Photo © Manuel F. Picaud / Auracan.com
Guillaume Sorel est né le 25 mars 1966 à Cherbourg. Son grand frère l'initie rapidement aux joies de la BD avec Comès et Pratt. Mais c'est Jonathan de Cosey qui nourrit plus particulièrement son goût pour le dessin. Il passe un BEP génie civil, puis entre aux Arts appliqués de Lyon avant d'arriver aux Beaux-Arts à Paris. Son parcours lui permet d'envisager l'art graphique sous toutes ses formes. Il démarre sa carrière dans l'illustration de jeux de rôles chez Oriflam, Casus Belli ou encore Descartes. C'est d'ailleurs là qu'il fait la connaissance de Thomas Mosdi avec lequel il réalise L'Île des morts. Sorel enchaîne alors les albums avec une aisance déconcertante. Son style révèle une grande admiration pour l'univers gothique et joue sur le contraste et la torture des couleurs. C'est au festival de Bruxelles, alors qu'ils étaient nommés tous les deux pour un prix, qu'il rencontre Mathieu Gallié. Leurs goûts convergent autour des mêmes centres d'intérêt, Walter Scott, Stevenson et... le whisky ! Autant d'éléments qui se retrouvent dans les aventures d'Algernon Woodcock. Une fable à mi-chemin entre les chroniques d'un médecin de campagne écossais et l'imaginaire celtique, le tout mâtiné d'accents de malt bien tourbés.
Texte © Delcourt
Photo © Manuel F. Picaud / Auracan.com
Guillaume Sorel est né le 25 mars 1966 à Cherbourg. Son grand frère l'initie rapidement aux joies de la BD avec Comès et Pratt. Mais c'est Jonathan de Cosey qui nourrit plus particulièrement son goût pour le dessin. Il passe un BEP génie civil, puis entre aux Arts appliqués de Lyon avant d'arriver aux Beaux-Arts à Paris. Son parcours lui permet d'envisager l'art graphique sous toutes ses formes. Il démarre sa carrière dans l'illustration de jeux de rôles chez Oriflam, Casus Belli ou encore Descartes. C'est d'ailleurs là qu'il fait la connaissance de Thomas Mosdi avec lequel il réalise L'Île des morts. Sorel enchaîne alors les albums avec une aisance déconcertante. Son style révèle une grande admiration pour l'univers gothique et joue sur le contraste et la torture des couleurs. C'est au festival de Bruxelles, alors qu'ils étaient nommés tous les deux pour un prix, qu'il rencontre Mathieu Gallié. Leurs goûts convergent autour des mêmes centres d'intérêt, Walter Scott, Stevenson et... le whisky ! Autant d'éléments qui se retrouvent dans les aventures d'Algernon Woodcock. Une fable à mi-chemin entre les chroniques d'un médecin de campagne écossais et l'imaginaire celtique, le tout mâtiné d'accents de malt bien tourbés.
Texte © Delcourt