Né à Paris, le 5 novembre 1857, Octave Lebesgue commença sa carrière de journaliste dans la presse lyonnaise. Puis il collabora à plusieurs journaux parisiens notamment Paris, La Bataille, Le Mot d’Ordre, L’Echo de Paris, sous les pseudonymes de Georges Montorgueil, Jean Valjan, Caribert. Il devint ensuite chef des informations à l’Eclair, et enfin rédacteur en chef du Temps jusqu’à sa mort, survenue en avril 1933. Depuis 1900, il était directeur de L’Intermédiaire des chercheurs et des curieux.
Auteur des livrets de trois drames lyriques, Mérovig, La Cloche du Rhin, avec la collaboration de Gheusi, et Léone – la musique de ces deux dernières œuvres étant l’œuvre de Samuel Rousseau – il publia également de nombreux ouvrages et albums sur Paris : Le Café-Concert, La Vie des Boulevards, Les Plaisirs du Dimanche, La Vie à Montmartre, La Parisienne peinte par elle-même, entre autres, et une vie romancée d’Henry Murger.
Né à Paris, le 5 novembre 1857, Octave Lebesgue commença sa carrière de journaliste dans la presse lyonnaise. Puis il collabora à plusieurs journaux parisiens notamment Paris, La Bataille, Le Mot d’Ordre, L’Echo de Paris, sous les pseudonymes de Georges Montorgueil, Jean Valjan, Caribert. Il devint ensuite chef des informations à l’Eclair, et enfin rédacteur en chef du Temps jusqu’à sa mort, survenue en avril 1933. Depuis 1900, il était directeur de L’Intermédiaire des chercheurs et des curieux.
Auteur des livrets de trois drames lyriques, Mérovig, La Cloche du Rhin, avec la collaboration de Gheusi, et Léone – la musique de ces deux dernières œuvres étant l’œuvre de Samuel Rousseau – il publia également de nombreux ouvrages et albums sur Paris : Le Café-Concert, La Vie des Boulevards, Les Plaisirs du Dimanche, La Vie à Montmartre, La Parisienne peinte par elle-même, entre autres, et une vie romancée d’Henry Murger.