Résolument disruptif et proactif, Maxime Le Dain s’impose dès la prime enfance comme un véritable serial entrepreneur. Il n’a que deux heures quand il réalise sa première fusion-acquisition, en couplant deux gamètes pour fonder un zygote au sein d’un incubateur d’entreprises de tout premier choix. Très vite, il fait fructifier son capital cellulaire et lance une OPA agressive sur les muqueuses voisines. Neuf mois seulement lui suffisent à atteindre le seuil de croissance défini par son business plan génétique et à émerger, nu et potelé, dans le grand bain du commerce global. Afin de mieux peser sur les marchés financiers, Maxime Le Dain investit rapidement dans une banque linguistique anglophone, qui lui permet dès l’adolescence de lire des comics dans la langue d’Alan Moore. Ce bagage multiculturel transverse, il décide de le mettre à profit par le biais d’une méthode cross-platform de son invention : le transcodage parasyntagmatique autoréalisé © (plus connu sous le nom de traduction). Pleinement engagé dans cette nouvelle voie, Maxime Le Dain propose ses services et ses solutions intégrées à plusieurs éditeurs, qui lui permettent en retour d’œuvrer sur des auteurs tels que H.P. Lovecraft (Cthulhu : le Mythe), Joe Hill (Locke & Key, The Cape…), Anthony Ryan (Blood Song…) parmi tant d’autres clients. Corporate jusqu’au bout des ongles, il rejoint Makma en 2016. Galvanisé par l’émulation collective, la soif de vendre et, soyons franc, la toxicomanie dévastatrice qui caractérisent cette équipe de jeunes loups de la finance, il traduit en son sein de nombreux comics de tout premier plan (Sheriff of Babylon, Black Monday Murders, Ether, Swamp Thing ou encore les débuts dans l’univers Marvel de personnages emblématiques comme Adam Warlock ou Thanos…) pour des éditeurs comme Télémaque, Hachette, Panini ou encore Urban Comics. Et tout cela, pour le plus grand bonheur des actionnaires, bien sûr.
Texte et photo © Studio Makma
Résolument disruptif et proactif, Maxime Le Dain s’impose dès la prime enfance comme un véritable serial entrepreneur. Il n’a que deux heures quand il réalise sa première fusion-acquisition, en couplant deux gamètes pour fonder un zygote au sein d’un incubateur d’entreprises de tout premier choix. Très vite, il fait fructifier son capital cellulaire et lance une OPA agressive sur les muqueuses voisines. Neuf mois seulement lui suffisent à atteindre le seuil de croissance défini par son business plan génétique et à émerger, nu et potelé, dans le grand bain du commerce global. Afin de mieux peser sur les marchés financiers, Maxime Le Dain investit rapidement dans une banque linguistique anglophone, qui lui permet dès l’adolescence de lire des comics dans la langue d’Alan Moore. Ce bagage multiculturel transverse, il décide de le mettre à profit par le biais d’une méthode cross-platform de son invention : le transcodage parasyntagmatique autoréalisé © (plus connu sous le nom de traduction). Pleinement engagé dans cette nouvelle voie, Maxime Le Dain propose ses services et ses solutions intégrées à plusieurs éditeurs, qui lui permettent en retour d’œuvrer sur des auteurs tels que H.P. Lovecraft (Cthulhu : le Mythe), Joe Hill (Locke & Key, The Cape…), Anthony Ryan (Blood Song…) parmi tant d’autres clients. Corporate jusqu’au bout des ongles, il rejoint Makma en 2016. Galvanisé par l’émulation collective, la soif de vendre et, soyons franc, la toxicomanie dévastatrice qui caractérisent cette équipe de jeunes loups de la finance, il traduit en son sein de nombreux comics de tout premier plan (Sheriff of Babylon, Black Monday Murders, Ether, Swamp Thing ou encore les débuts dans l’univers Marvel de personnages emblématiques comme Adam Warlock ou Thanos…) pour des éditeurs comme Télémaque, Hachette, Panini ou encore Urban Comics. Et tout cela, pour le plus grand bonheur des actionnaires, bien sûr.
Texte et photo © Studio Makma