François Capuron est né le 24 avril 1964 à Paris. Il vit dans le Nord, à Villeneuve d’Ascq jusqu’à l’âge de 21 ans. Après une licence de sociologie à la Sorbonne et une maîtrise de sciences et techniques d’édition à Villetaneuse, il entre en 1989 aux Éditions Delcourt où il assure aujourd’hui les fonctions de responsable éditorial. Ses premiers souvenirs de BD : les Lucky Luke que son père lui offrait lorsqu’il l’accompagnait, enfant, à Paris. Puis, il découvre la BD adulte grâce à la série Jeremiah de Hermann, et Blueberry de Jean Giraud et Jean-Michel Charlier. François Capuron se passionne très tôt pour le western au cinéma, notamment grâce à l’émission d’Eddy Mitchel, La Dernière Séance. Grand admirateur de John Ford et de son classicisme indémodable, d’Anthony Mann et de son fidèle James Stewart, de Sam Peckinpah pour La Horde Sauvage et de l’ensemble de l’œuvre de Clint Eastwood, il se passionne aussi pour la littérature amérindienne, et cite comme livre de chevet Comme des ombres sur la Terre de James Welch. Gibier de Potence est né de l’envie d’Olivier Vatine de confier une histoire de western à un jeune dessinateur. François Capuron propose alors son scénario et demande à Fred Duval de l’accompagner dans cette aventure. Les essais avec le jeune dessinateur n’ayant pas abouti, il pense alors à Fabrice Jarzaguet. Dernier membre à rejoindre l’équipe : la coloriste Isabelle Rabarot. François Capuron signe ainsi son premier album. Son autre passion : les 2CV !
Texte © Delcourt
François Capuron est né le 24 avril 1964 à Paris. Il vit dans le Nord, à Villeneuve d’Ascq jusqu’à l’âge de 21 ans. Après une licence de sociologie à la Sorbonne et une maîtrise de sciences et techniques d’édition à Villetaneuse, il entre en 1989 aux Éditions Delcourt où il assure aujourd’hui les fonctions de responsable éditorial. Ses premiers souvenirs de BD : les Lucky Luke que son père lui offrait lorsqu’il l’accompagnait, enfant, à Paris. Puis, il découvre la BD adulte grâce à la série Jeremiah de Hermann, et Blueberry de Jean Giraud et Jean-Michel Charlier. François Capuron se passionne très tôt pour le western au cinéma, notamment grâce à l’émission d’Eddy Mitchel, La Dernière Séance. Grand admirateur de John Ford et de son classicisme indémodable, d’Anthony Mann et de son fidèle James Stewart, de Sam Peckinpah pour La Horde Sauvage et de l’ensemble de l’œuvre de Clint Eastwood, il se passionne aussi pour la littérature amérindienne, et cite comme livre de chevet Comme des ombres sur la Terre de James Welch. Gibier de Potence est né de l’envie d’Olivier Vatine de confier une histoire de western à un jeune dessinateur. François Capuron propose alors son scénario et demande à Fred Duval de l’accompagner dans cette aventure. Les essais avec le jeune dessinateur n’ayant pas abouti, il pense alors à Fabrice Jarzaguet. Dernier membre à rejoindre l’équipe : la coloriste Isabelle Rabarot. François Capuron signe ainsi son premier album. Son autre passion : les 2CV !
Texte © Delcourt