Giancarlo Berardi fait ses débuts dans le monde de la BD en écrivant son 1er récit intitulé « Il Cieco » (l'aveugle) avec au dessin son camarade d'université Ivo Milazzo. Cette histoire sera publié dans la revue Horror (créée par Pier Carpi et Alfredo Castelli). En 1974, il crée avec son ami Milazzo la série Ken Parker (Scotty Long Rifle) pour la Cepim (qui deviendra plus tard Bonelli). En 1980, il signe pour Bonelli L'uomo delle Filippine (L'homme des Philippines) dans la série Un uomo un'avventura (Un homme, une aventure) toujours avec son compère Milazzo. En 1989, Berardi reprend Tommy Steele pour Comic Art et quelques histoires légères ou humoristiques comme Tom's Bar ou Giuli Bai & Co. La même année, il fonda avec Milazzo la Parker Editore qui réédite la série à son format initial jusqu'en août 1994 et son 62e épisode. Les trois derniers épisodes étant des inédits (en France également). Toujours en 1989, il retravaille pour Bonelli sur la série Nick Raider. En 1993, il décroche le prix ANAFI du meilleur scénariste de l'année.
Texte © Mosquito
Giancarlo Berardi fait ses débuts dans le monde de la BD en écrivant son 1er récit intitulé « Il Cieco » (l'aveugle) avec au dessin son camarade d'université Ivo Milazzo. Cette histoire sera publié dans la revue Horror (créée par Pier Carpi et Alfredo Castelli). En 1974, il crée avec son ami Milazzo la série Ken Parker (Scotty Long Rifle) pour la Cepim (qui deviendra plus tard Bonelli). En 1980, il signe pour Bonelli L'uomo delle Filippine (L'homme des Philippines) dans la série Un uomo un'avventura (Un homme, une aventure) toujours avec son compère Milazzo. En 1989, Berardi reprend Tommy Steele pour Comic Art et quelques histoires légères ou humoristiques comme Tom's Bar ou Giuli Bai & Co. La même année, il fonda avec Milazzo la Parker Editore qui réédite la série à son format initial jusqu'en août 1994 et son 62e épisode. Les trois derniers épisodes étant des inédits (en France également). Toujours en 1989, il retravaille pour Bonelli sur la série Nick Raider. En 1993, il décroche le prix ANAFI du meilleur scénariste de l'année.
Texte © Mosquito