Née à Alger et originaire du Lot-et-Garonne, Maryse Wolinski a écrit pour de nombreux titres de presse, comme Sud-Ouest, Le Journal du dimanche, Elle et Le Monde Dimanche. Elle s’est ensuite tournée vers la littérature. Elle a été mariée pendant quarante-trois ans au dessinateur Georges Wolinski, tué dans l’attentat contre Charlie Hebdo en 2015. C’est en 1988 qu’elle s’impose comme romancière à part entière, avec "Au diable Vauvert", son premier roman, paru chez Flammarion : l’intimité et le secret, la vie de famille, l’amour (ou le désamour) dans le couple, autant de thèmes qui formeront la matière de ses romans ultérieurs. Elle signera ensuite Le Maître d’amour (1992), Lettre ouverte aux hommes qui n’ont rien compris aux femmes (1993) ou La Femme qui aimait les hommes (1998). Après l’assassinat de son mari, elle lui consacrera trois livres publiés par le Seuil : Chérie, je vais à Charlie en 2016, Le goût de la belle vie en 2017 et Au risque de la vie en 2020. Jusqu’en 2020, elle poursuivait un projet auquel son mari était très attaché : la création, à Paris, d’une « maison européenne du dessin de presse », idée lancée par le dessinateur en 2007, à la suite d’une demande de Jacques Chirac, et pour laquelle Emmanuel Macron s’est également engagé.
Née à Alger et originaire du Lot-et-Garonne, Maryse Wolinski a écrit pour de nombreux titres de presse, comme Sud-Ouest, Le Journal du dimanche, Elle et Le Monde Dimanche. Elle s’est ensuite tournée vers la littérature. Elle a été mariée pendant quarante-trois ans au dessinateur Georges Wolinski, tué dans l’attentat contre Charlie Hebdo en 2015. C’est en 1988 qu’elle s’impose comme romancière à part entière, avec "Au diable Vauvert", son premier roman, paru chez Flammarion : l’intimité et le secret, la vie de famille, l’amour (ou le désamour) dans le couple, autant de thèmes qui formeront la matière de ses romans ultérieurs. Elle signera ensuite Le Maître d’amour (1992), Lettre ouverte aux hommes qui n’ont rien compris aux femmes (1993) ou La Femme qui aimait les hommes (1998). Après l’assassinat de son mari, elle lui consacrera trois livres publiés par le Seuil : Chérie, je vais à Charlie en 2016, Le goût de la belle vie en 2017 et Au risque de la vie en 2020. Jusqu’en 2020, elle poursuivait un projet auquel son mari était très attaché : la création, à Paris, d’une « maison européenne du dessin de presse », idée lancée par le dessinateur en 2007, à la suite d’une demande de Jacques Chirac, et pour laquelle Emmanuel Macron s’est également engagé.