Vincent Hardy, né le 28 juin 1955 à Bujumbura, est un dessinateur et scénariste belge de bande dessinée. Vincent Hardy a étudié les arts plastiques à l'Institut Saint-Luc de Mons. À partir de 1978, il publie dans la revue Spatial de Michel Deligne. Quatre ans plus tard, il fonde Les Éditions Nallet-Boirunvert et y publie le premier tome des Insolitudes. À la même époque, il publie Le Courseur et autres histoires drôles aux éditions du Miroir. En 1986, il commence la série Ashe Barrett qui restera inachevée. Il se détourne de la bande dessinée et se consacre à la peinture. En 2005‚ il revient au livre par le biais de l’illustration de livre pour la jeunesse. Vincent Hardy décrit des univers absurdes et des situations abracadabrantes mais avec une précision de dessinateur industriel. Ses récits ont ainsi une cohérence graphique parfaite pour un contenu délirant inclassable. Ses ficelles favorites sont les contre-pieds, la matérialité des phylactères, les onomatopées omniprésentes, l'orthographe approximative, la mise en abyme et les interludes graphiques. Les quelques critiques qu'on peut en lire font toutes l'éloge de son inventivité exubérante et le qualifient invariablement d'« injustement méconnu » du fait de l'absence totale de notoriété de l'auteur.
Texte © Wikipédia
Vincent Hardy, né le 28 juin 1955 à Bujumbura, est un dessinateur et scénariste belge de bande dessinée. Vincent Hardy a étudié les arts plastiques à l'Institut Saint-Luc de Mons. À partir de 1978, il publie dans la revue Spatial de Michel Deligne. Quatre ans plus tard, il fonde Les Éditions Nallet-Boirunvert et y publie le premier tome des Insolitudes. À la même époque, il publie Le Courseur et autres histoires drôles aux éditions du Miroir. En 1986, il commence la série Ashe Barrett qui restera inachevée. Il se détourne de la bande dessinée et se consacre à la peinture. En 2005‚ il revient au livre par le biais de l’illustration de livre pour la jeunesse. Vincent Hardy décrit des univers absurdes et des situations abracadabrantes mais avec une précision de dessinateur industriel. Ses récits ont ainsi une cohérence graphique parfaite pour un contenu délirant inclassable. Ses ficelles favorites sont les contre-pieds, la matérialité des phylactères, les onomatopées omniprésentes, l'orthographe approximative, la mise en abyme et les interludes graphiques. Les quelques critiques qu'on peut en lire font toutes l'éloge de son inventivité exubérante et le qualifient invariablement d'« injustement méconnu » du fait de l'absence totale de notoriété de l'auteur.
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