Friand de ce qui se cache derrière une toile ou encore une bande dessinée, Didier Maheva se rappelle que dans les années 80, au dos de certains livres de bande dessinée, il y avait la photo des auteurs, un truc pratique surtout si celui-ci habite le même immeuble que vous. Pas sûr cependant qu’il accepte de dédicacer son œuvre dans la cage d’escalier. Maintenant c'est son tour. Qui sait, vous êtes peut-être son voisin de palier... Mon nom c’est MAHEVA en trois décennies mon patronyme est devenu un prénom. Du coup quand j’ai enseigné les arts plastiques au Lycée Français de Diego-Suarez à Madagascar dans les années 90 les élèves s’attendaient à voir débarquer une professeur, je vous dis pas la claque, bref… dans les années 80, j’ai fréquenté les beaux-arts de Toulon, ma ville, et je réalise que je vous raconte ma vie là, non franchement, y a rien à dire sur moi. Je dessine depuis toujours, le dessin est vital pour moi, c’est mon oxygène et ma drogue.”
Texte © 6 Pieds sous Terre
Friand de ce qui se cache derrière une toile ou encore une bande dessinée, Didier Maheva se rappelle que dans les années 80, au dos de certains livres de bande dessinée, il y avait la photo des auteurs, un truc pratique surtout si celui-ci habite le même immeuble que vous. Pas sûr cependant qu’il accepte de dédicacer son œuvre dans la cage d’escalier. Maintenant c'est son tour. Qui sait, vous êtes peut-être son voisin de palier... Mon nom c’est MAHEVA en trois décennies mon patronyme est devenu un prénom. Du coup quand j’ai enseigné les arts plastiques au Lycée Français de Diego-Suarez à Madagascar dans les années 90 les élèves s’attendaient à voir débarquer une professeur, je vous dis pas la claque, bref… dans les années 80, j’ai fréquenté les beaux-arts de Toulon, ma ville, et je réalise que je vous raconte ma vie là, non franchement, y a rien à dire sur moi. Je dessine depuis toujours, le dessin est vital pour moi, c’est mon oxygène et ma drogue.”
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