Robin Cousin, né le 3 mai 1984 dans les Hautes-Pyrénées, est un auteur de bande dessinée français. Enfant, il bidouillait des robots à partir d’allumettes et de voitures téléguidées, écrivait des scénarios qu’il déclinait en pièces radiophoniques, en bandes dessinées ou en films avec ses cousins et de la pâte à modeler. Tout le monde lui disait qu’il fallait choisir une seule de ces choses pour en faire son métier. Après avoir essayé les arts appliqués et l’architecture d’intérieur, il finit par choisir la bande dessinée. La bande dessinée c’est très complet : il faut savoir faire un peu de dessin, un peu de couleurs, un peu d’écriture, un peu de mise en scène, un peu de jeu d’acteur. Après cinq années aux Beaux-Arts d’Angoulême, il a même écrit son mémoire de master là-dessus. Plus tard, il monte avec des amis les éditions Les Machines et coorganise le F.OFF d’Angoulême. En 2013, après une résidence à la maison des auteurs d’Angoulême, il publie Le Chercheur fantôme (qui reçoit le Prix de la fiction scientifique en 2015), déclaration d’amour à la recherche scientifique et au regard poétique qu’elle offre sur le monde. En 2017 sort Le Profil de Jean Melville « un thriller palpitant qui interroge sans manichéisme les enjeux de la technologie dans la sphère privée. » (Les Inrocks) et reçoit le Prix Révélation ADAGP / Quai des Bulles (et fait partie de la sélection officielle du FIBD d’Angoulême 2018). Un ordinateur peut-il imiter un être humain ? Quels pouvoirs sommes-nous prêts à déléguer aux machines ? Voilà les questions qui l’empêchent de dormir.
Robin Cousin, né le 3 mai 1984 dans les Hautes-Pyrénées, est un auteur de bande dessinée français. Enfant, il bidouillait des robots à partir d’allumettes et de voitures téléguidées, écrivait des scénarios qu’il déclinait en pièces radiophoniques, en bandes dessinées ou en films avec ses cousins et de la pâte à modeler. Tout le monde lui disait qu’il fallait choisir une seule de ces choses pour en faire son métier. Après avoir essayé les arts appliqués et l’architecture d’intérieur, il finit par choisir la bande dessinée. La bande dessinée c’est très complet : il faut savoir faire un peu de dessin, un peu de couleurs, un peu d’écriture, un peu de mise en scène, un peu de jeu d’acteur. Après cinq années aux Beaux-Arts d’Angoulême, il a même écrit son mémoire de master là-dessus. Plus tard, il monte avec des amis les éditions Les Machines et coorganise le F.OFF d’Angoulême. En 2013, après une résidence à la maison des auteurs d’Angoulême, il publie Le Chercheur fantôme (qui reçoit le Prix de la fiction scientifique en 2015), déclaration d’amour à la recherche scientifique et au regard poétique qu’elle offre sur le monde. En 2017 sort Le Profil de Jean Melville « un thriller palpitant qui interroge sans manichéisme les enjeux de la technologie dans la sphère privée. » (Les Inrocks) et reçoit le Prix Révélation ADAGP / Quai des Bulles (et fait partie de la sélection officielle du FIBD d’Angoulême 2018). Un ordinateur peut-il imiter un être humain ? Quels pouvoirs sommes-nous prêts à déléguer aux machines ? Voilà les questions qui l’empêchent de dormir.