Antoine Perrot naît en 1972, dans le Parc naturel du Perche, à Nogent le Rotrou. Sa mère enseigne le piano, son père est chanteur de rock le week-end, et son âne est têtu, comme un âne. À huit ans, il apprend la peinture à l’huile avec Christiane Kern, une peintre habitant son village. Puis, au collège, il découvre les albums de Gotlib et Reiser. Il publie des bandes dessinées dans le fanzine de sa classe. Après un baccalauréat scientifique option arts plastiques, il dessine toujours autant. Il entre à l’école Olivier de Serres, à Paris, puis, à l’école Saint Luc, à Bruxelles, en section bande dessinée. En 1995, objecteur de conscience à Bordeaux, il anime un atelier de dessin et de photographie, à la maison Saint Joseph, un lycée de la fondation d'Auteuil. Parallèlement, il cofonde la revue de bande dessinée Le dernier neurone, avec Neurone Pipero, Quentin et Joisson (Jürg, Witko et Morgan Navarro les rejoignent). Puis, il s'installe dans le Perche, et dessine pour l'industrie textile chez Comota (Gaultier, Levi's, Disney, Kookaï, Chevignon...). Grâce à sa moralité exemplaire, il s’enrichit très rapidement. En 1998, il crée un atelier de peinture et de bande dessinée où il enseigne. Il crée l’association de petite édition Supérette, publie la revue du même nom, et imprime des images en sérigraphie. Il publie ses histoires courtes dans les revues précitées, dans les collectifs Margarine, Ferraille, Pastek, Peau de banane, dans le livre disque ABCD-rom de Dick Annegarn, et l'album Dégât Collatéral. En 2005, il s'installe à Angoulême. Il conduit un tracteur au domaine du réservé, à Puypéroux, puis, entre en résidence à la Maison des auteurs. Il illustre différents supports institutionnels, enseigne le dessin au LISA et à l'EMCA, publie des histoires courtes dans la revue Psikopat (Les enquêtes de Supérette, spécialiste des affaires spéciales, et Les coulisses du meilleur des mondes). Il participe aux 24 heures de la bande dessinée, en 2007 et en 2008, puis il fait un enfant, et se consacre à de nombreux projets de bandes dessinées.
Texte et photo © Dargaud
Antoine Perrot naît en 1972, dans le Parc naturel du Perche, à Nogent le Rotrou. Sa mère enseigne le piano, son père est chanteur de rock le week-end, et son âne est têtu, comme un âne. À huit ans, il apprend la peinture à l’huile avec Christiane Kern, une peintre habitant son village. Puis, au collège, il découvre les albums de Gotlib et Reiser. Il publie des bandes dessinées dans le fanzine de sa classe. Après un baccalauréat scientifique option arts plastiques, il dessine toujours autant. Il entre à l’école Olivier de Serres, à Paris, puis, à l’école Saint Luc, à Bruxelles, en section bande dessinée. En 1995, objecteur de conscience à Bordeaux, il anime un atelier de dessin et de photographie, à la maison Saint Joseph, un lycée de la fondation d'Auteuil. Parallèlement, il cofonde la revue de bande dessinée Le dernier neurone, avec Neurone Pipero, Quentin et Joisson (Jürg, Witko et Morgan Navarro les rejoignent). Puis, il s'installe dans le Perche, et dessine pour l'industrie textile chez Comota (Gaultier, Levi's, Disney, Kookaï, Chevignon...). Grâce à sa moralité exemplaire, il s’enrichit très rapidement. En 1998, il crée un atelier de peinture et de bande dessinée où il enseigne. Il crée l’association de petite édition Supérette, publie la revue du même nom, et imprime des images en sérigraphie. Il publie ses histoires courtes dans les revues précitées, dans les collectifs Margarine, Ferraille, Pastek, Peau de banane, dans le livre disque ABCD-rom de Dick Annegarn, et l'album Dégât Collatéral. En 2005, il s'installe à Angoulême. Il conduit un tracteur au domaine du réservé, à Puypéroux, puis, entre en résidence à la Maison des auteurs. Il illustre différents supports institutionnels, enseigne le dessin au LISA et à l'EMCA, publie des histoires courtes dans la revue Psikopat (Les enquêtes de Supérette, spécialiste des affaires spéciales, et Les coulisses du meilleur des mondes). Il participe aux 24 heures de la bande dessinée, en 2007 et en 2008, puis il fait un […]