Photo © JJ Procureur
Jean-Luc Fonck est le cadet de trois enfants, il a deux sœurs. De père en fils, depuis le grand-père, on est boulanger chez les Fonck. Jean-Luc vit à Arlon jusque l'âge de douze ans puis débarque à Bruxelles où il rencontre Mimi sur les bancs d'une école bruxelloise. Mimi et Jean-Luc font les quatre cents coups, elle pousse un peu la chansonnette et lui essaie tant bien que mal de jouer de la guitare.
« Tout a commencé par une blague, tout s'est poursuivi par une blague. Je ne savais ni chanter, ni lire une partition ». C'est en 1975 que Sttellla naît officiellement avec des potes de l'école (ils sont parfois neuf sur scène). « À nos débuts, on jouait pour une poignée de fans. À la fin, on donnait des concerts devant six mille personnes ». Il a acquis depuis une certaine maîtrise de l'art de l'humour par l'absurde.
C'est le contrat avec le label français « Boucherie Productions » qui fera de Sttellla une valeur sûre des festivals. Entre 1975 et 1993, le groupe donne plus de cinq cents concerts en Belgique, en France et au Québec.
Fin 1993, la rupture avec Mimi entraîne la fin de Sttellla sous forme de duo, et c'est en 1995 que Jean-Luc Fonck entame en Suisse sa première tournée en solo, puis plus tard accompagné d'un groupe, une tournée de deux ans et cent cinquante concerts qui ont réuni au total cent vingt mille personnes.
En 2003, Jean-Luc Fonck publie les "Histoires à délire debout", chez Casterman dans la collection "C'est pour offrir" dirigée par son ami Philippe Geluck. Ces histoires sont de petites nouvelles, empruntes de poésies et teintées d'un onirisme qui évoque le monde du dessinateur Fred. Comme il l'avouera dans une interview, "je ne sais pas chanter. Avant que les gens ne s'en rendent compte, je vais me recycler dans un autre truc que je ne sais pas faire, écrire".
L'avenir lui donnera tort car en 2004 et en 2006, paraîssent deux autres volumes des histoires à délire debout ( "Nouvelles histoires à délire debout" et "Histoires à délire debout, Tome 3 : Prochaines histoires à délire debout" ). En 2007 un quatrième livre a été publié, "Le contrat".
Fonck fut également membre de l'équipe du jeu des dictionnaires ainsi que de la défunte émission La Télé infernale.
Texte © Wikipédia
Photo © JJ Procureur
Jean-Luc Fonck est le cadet de trois enfants, il a deux sœurs. De père en fils, depuis le grand-père, on est boulanger chez les Fonck. Jean-Luc vit à Arlon jusque l'âge de douze ans puis débarque à Bruxelles où il rencontre Mimi sur les bancs d'une école bruxelloise. Mimi et Jean-Luc font les quatre cents coups, elle pousse un peu la chansonnette et lui essaie tant bien que mal de jouer de la guitare.
« Tout a commencé par une blague, tout s'est poursuivi par une blague. Je ne savais ni chanter, ni lire une partition ». C'est en 1975 que Sttellla naît officiellement avec des potes de l'école (ils sont parfois neuf sur scène). « À nos débuts, on jouait pour une poignée de fans. À la fin, on donnait des concerts devant six mille personnes ». Il a acquis depuis une certaine maîtrise de l'art de l'humour par l'absurde.
C'est le contrat avec le label français « Boucherie Productions » qui fera de Sttellla une valeur sûre des festivals. Entre 1975 et 1993, le groupe donne plus de cinq cents concerts en Belgique, en France et au Québec.
Fin 1993, la rupture avec Mimi entraîne la fin de Sttellla sous forme de duo, et c'est en 1995 que Jean-Luc Fonck entame en Suisse sa première tournée en solo, puis plus tard accompagné d'un groupe, une tournée de deux ans et cent cinquante concerts qui ont réuni au total cent vingt mille personnes.
En 2003, Jean-Luc Fonck publie les "Histoires à délire debout", chez Casterman dans la collection "C'est pour offrir" dirigée par son ami Philippe Geluck. Ces histoires sont de petites nouvelles, empruntes de poésies et teintées d'un onirisme qui évoque le monde du dessinateur Fred. Comme il l'avouera dans une interview, "je ne sais pas chanter. Avant que les gens ne s'en rendent compte, je vais me recycler dans un autre truc que je ne sais pas faire, écrire".
L'avenir lui donnera tort car en 2004 et en 2006, paraîssent deux autres volumes des histoires […]