Il peint, il écrit, il dessine comme il respire. Artiste arpenteur, cet ancien auteur et illustrateur de BD reconnu, a tout quitté pour l’expression et la grandeur des terres haut-marnaises. Sa soif de recherche a trouvé un terrain de liberté pour travailler tous les domaines artistiques. Dès potron-minet, l’information arrivée, il tire de sa plume les mises en scènes subtiles du monde qui l’entoure. Sous le travesti de l’humour noir, ce sont ses propres inquiétudes sur la grandeur et les horreurs de la vie de tous les jours qu’il anime avec la prestance de son ironie. Ses billets d’humeur qui paraissaient dans la rubrique « La queue du chat », du journal local, sont à jamais coincés dans les 200 pages d’un livre éponyme. Puis, ce poète de notre temps a mis sa prose alerte et savoureuse au profit de la chanson. Des textes libres, aériens, gorgés de fantaisie et d’absurde qu’il a écrit pour ses filles « chantantes », « Juja et Lula ». Mais l’écriture ne suffit pas à rassasier la frénésie d’invention de ce franc-tireur. Entre deux poésies, pièces de théâtre et illustrations... il peint ce qu’il est impossible de décrire. D’ailleurs, il est responsable à l’École municipale d’arts plastiques de Langres où il enseigne depuis 1993. S’il ne dépasse pas la frivolité contemporaine, il s’inscrit dans la grandeur des conceptions formelles de nos cubistes, à l’image de l’effervescence de son esprit. Dans ses toiles, si le sujet compte, c’est à peine. Pourtant, il ne nie pas les personnages, il illumine les corps avec son intelligence et son sentiment. Aux perceptions visuelles, il joint les perceptions tactiles. Il éprouve, comprend, organise. Le tableau n’est pas une transposition, nous y contemplons ses idées prendre vie, l’effervescence de son esprit libre. L’image dans son intégralité nous apporte un compte rendu matériel de leur vie réelle dans l’esprit. La coloration est fidèle au double principe irrécurable du ton chaud et du ton froid. Ses idées voyagent dans l’univers infini de la quatrième dimension permettant à l’artiste de donner aux objets des proportions conformes à la plasticité des sujets.
Il peint, il écrit, il dessine comme il respire. Artiste arpenteur, cet ancien auteur et illustrateur de BD reconnu, a tout quitté pour l’expression et la grandeur des terres haut-marnaises. Sa soif de recherche a trouvé un terrain de liberté pour travailler tous les domaines artistiques. Dès potron-minet, l’information arrivée, il tire de sa plume les mises en scènes subtiles du monde qui l’entoure. Sous le travesti de l’humour noir, ce sont ses propres inquiétudes sur la grandeur et les horreurs de la vie de tous les jours qu’il anime avec la prestance de son ironie. Ses billets d’humeur qui paraissaient dans la rubrique « La queue du chat », du journal local, sont à jamais coincés dans les 200 pages d’un livre éponyme. Puis, ce poète de notre temps a mis sa prose alerte et savoureuse au profit de la chanson. Des textes libres, aériens, gorgés de fantaisie et d’absurde qu’il a écrit pour ses filles « chantantes », « Juja et Lula ». Mais l’écriture ne suffit pas à rassasier la frénésie d’invention de ce franc-tireur. Entre deux poésies, pièces de théâtre et illustrations... il peint ce qu’il est impossible de décrire. D’ailleurs, il est responsable à l’École municipale d’arts plastiques de Langres où il enseigne depuis 1993. S’il ne dépasse pas la frivolité contemporaine, il s’inscrit dans la grandeur des conceptions formelles de nos cubistes, à l’image de l’effervescence de son esprit. Dans ses toiles, si le sujet compte, c’est à peine. Pourtant, il ne nie pas les personnages, il illumine les corps avec son intelligence et son sentiment. Aux perceptions visuelles, il joint les perceptions tactiles. Il éprouve, comprend, organise. Le tableau n’est pas une transposition, nous y contemplons ses idées prendre vie, l’effervescence de son esprit libre. L’image dans son intégralité nous apporte un compte rendu matériel de leur vie réelle dans l’esprit. La coloration est fidèle au double principe irrécurable du ton chaud et du ton froid. Ses idées voyagent dans l’univers […]