José Parrondo est né à Liège en 1965. Il commence à dessiner tout petit et scénarise les aventures de ses playmobils. Loin de ces intenses préoccupations, il entreprend des études de photographie qui lui permettront de rencontrer de nombreux dessinateurs et peintres. Il commence à publier dans des petits fanzines, multiplie les expositions et développe la spontanéité de son trait. Il signe enfin, aux éditions du Lézard où il rencontre Lewis Trondheim. Le projet Papa raconte naît de vacances que partagent les deux complices. Cherchant une alternative aux soirées ennuyeuses, ils s'essayent au dessin à "quatre mains". Lewis lance l'idée d'histoires "pour s'endormir" avec un découpage en 35 vignettes. Par ailleurs, passionné par la création artistique sous toutes ses formes, Parrondo est aussi musicien et jongle entre la guitare, le piano-jouet et les boîtes d'allumettes qui font tchik-tchik ! Actuellement, il travaille pour la revue Lapin de l'Association ainsi que pour Picoti, Toupie et les Aventuriers chez Milan.
Texte © Delcourt
José Parrondo est né à Liège en 1965. Il commence à dessiner tout petit et scénarise les aventures de ses playmobils. Loin de ces intenses préoccupations, il entreprend des études de photographie qui lui permettront de rencontrer de nombreux dessinateurs et peintres. Il commence à publier dans des petits fanzines, multiplie les expositions et développe la spontanéité de son trait. Il signe enfin, aux éditions du Lézard où il rencontre Lewis Trondheim. Le projet Papa raconte naît de vacances que partagent les deux complices. Cherchant une alternative aux soirées ennuyeuses, ils s'essayent au dessin à "quatre mains". Lewis lance l'idée d'histoires "pour s'endormir" avec un découpage en 35 vignettes. Par ailleurs, passionné par la création artistique sous toutes ses formes, Parrondo est aussi musicien et jongle entre la guitare, le piano-jouet et les boîtes d'allumettes qui font tchik-tchik ! Actuellement, il travaille pour la revue Lapin de l'Association ainsi que pour Picoti, Toupie et les Aventuriers chez Milan.
Texte © Delcourt