Photo © Auteur
Adrien Fournier a 30 ans, il est né et a grandi en banlieue, au Noyer Crapaud, dans le 95. Avant ses études d’art plastique, qui le mènent à l’École Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg puis à la faculté des Beaux arts de Bilbao, il a eu le temps de s’en faire une petite idée. Ses bandes dessinées comme ses films, marqués par univers à la fois punk et situationniste, relèvent de la satire sociale. Qu’il croque des scènes du quotidien ou qu’il tourne en dérision l’idée toute faite que l’on peut avoir sur la banlieue, Adrien Fournier livre sur elle un regard aussi drôle que noir, très juste, au plus près de ce qu’elle est
Texte © Cambourakis
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Adrien Fournier a 30 ans, il est né et a grandi en banlieue, au Noyer Crapaud, dans le 95. Avant ses études d’art plastique, qui le mènent à l’École Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg puis à la faculté des Beaux arts de Bilbao, il a eu le temps de s’en faire une petite idée. Ses bandes dessinées comme ses films, marqués par univers à la fois punk et situationniste, relèvent de la satire sociale. Qu’il croque des scènes du quotidien ou qu’il tourne en dérision l’idée toute faite que l’on peut avoir sur la banlieue, Adrien Fournier livre sur elle un regard aussi drôle que noir, très juste, au plus près de ce qu’elle est
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