Né en 1963 en Belgique, Jeroen Janssen fait ses classes à l’Institut St-Luc de Gand. Jeroen dessine comme il est, mais à l’envers : Belge à l’extérieur, Africain à l’intérieur. C’est au Rwanda, où il vit pendant cinq ans, qu’il décide de consacrer l’essentiel de son énergie au dessin et à la bande dessinée. Alors enseignant à l’École d’Arts de Nyundo, il crée son premier album, Muzungu, Sluipend gif (Wonderland Half Vier Productions, 1997). Rédigé avant et après le génocide rwandais, cet album publié en Belgique (dont le titre bilingue signifie littéralement “Homme blanc, poison insidieux”) a été primé au festival d’Haarlem en 1998. Depuis, il a publié diverses histoires africaines, dont Les aventures du lièvre Bakamé, en compagnie de son compère, Pieter Van Oudheusden.
Texte © La boîte à bulles
Né en 1963 en Belgique, Jeroen Janssen fait ses classes à l’Institut St-Luc de Gand. Jeroen dessine comme il est, mais à l’envers : Belge à l’extérieur, Africain à l’intérieur. C’est au Rwanda, où il vit pendant cinq ans, qu’il décide de consacrer l’essentiel de son énergie au dessin et à la bande dessinée. Alors enseignant à l’École d’Arts de Nyundo, il crée son premier album, Muzungu, Sluipend gif (Wonderland Half Vier Productions, 1997). Rédigé avant et après le génocide rwandais, cet album publié en Belgique (dont le titre bilingue signifie littéralement “Homme blanc, poison insidieux”) a été primé au festival d’Haarlem en 1998. Depuis, il a publié diverses histoires africaines, dont Les aventures du lièvre Bakamé, en compagnie de son compère, Pieter Van Oudheusden.
Texte © La boîte à bulles