Michel Onfray, né le 1er janvier 1959 à Argentan, est un philosophe, essayiste et polémiste français. Il est l'auteur de plus de cent quinze ouvrages dont certains ont connu un grand succès, y compris dans les pays non francophones où il est traduit en vingt-huit langues. À la suite de l'accession de Jean-Marie Le Pen au second tour de l'élection présidentielle française de 2002, il quitte sa carrière d'enseignant pour créer l'université populaire de Caen où il délivre pendant seize ans le cours « contre-histoire de la philosophie » qui est retransmis sur la station de radio France Culture. Il intervient régulièrement à la radio et à la télévision sur des sujets politiques et sociaux. Ses prises de position suscitent de nombreuses controverses. Alors qu'il se définit comme libertaire et proudhonien au départ, il suit une évolution intellectuelle qui le pousse progressivement vers l'extrême droite. Il anime depuis 2020 la revue Front Populaire, que le politologue Jean-Yves Camus qualifie d'« antilibérale, populiste et souverainiste » et qui séduit surtout les milieux d'extrême droite.
Michel Onfray, né le 1er janvier 1959 à Argentan, est un philosophe, essayiste et polémiste français. Il est l'auteur de plus de cent quinze ouvrages dont certains ont connu un grand succès, y compris dans les pays non francophones où il est traduit en vingt-huit langues. À la suite de l'accession de Jean-Marie Le Pen au second tour de l'élection présidentielle française de 2002, il quitte sa carrière d'enseignant pour créer l'université populaire de Caen où il délivre pendant seize ans le cours « contre-histoire de la philosophie » qui est retransmis sur la station de radio France Culture. Il intervient régulièrement à la radio et à la télévision sur des sujets politiques et sociaux. Ses prises de position suscitent de nombreuses controverses. Alors qu'il se définit comme libertaire et proudhonien au départ, il suit une évolution intellectuelle qui le pousse progressivement vers l'extrême droite. Il anime depuis 2020 la revue Front Populaire, que le politologue Jean-Yves Camus qualifie d'« antilibérale, populiste et souverainiste » et qui séduit surtout les milieux d'extrême droite.