Né en 1961 à Toulouse, Bernard Werber a publié sa première nouvelle dans un fanzine à l'âge de 14 ans. Après avoir été pendant dix ans journaliste scientifique dans les plus grands magazines français, il se consacre à l'écriture romanesque. Dès son premier livre, Les Fourmis (Prix des lecteurs de Sciences et Avenir en 1991), ce jeune écrivain s'est imposé comme un maître original d'un nouveau style de littérature à cheval entre la saga d'aventures, le roman fantastique et le conte philosophique. Le Jour des fourmis, publié deux ans plus tard, traduit en vingt-deux langues, a obtenu le Grand Prix des lectrices de Elle et le Grand Prix des lecteurs du Livre de Poche 1995. Il a même été mis au programme de certaines classes de français, philosophie et... mathématiques. Pour lui, le travail de l'écrivain ne se limite pas à raconter une histoire, il consiste aussi à apprendre des choses à ses lecteurs. C'est la prolongation de son métier initial de journaliste scientifique.
Texte © Drugstore
Né en 1961 à Toulouse, Bernard Werber a publié sa première nouvelle dans un fanzine à l'âge de 14 ans. Après avoir été pendant dix ans journaliste scientifique dans les plus grands magazines français, il se consacre à l'écriture romanesque. Dès son premier livre, Les Fourmis (Prix des lecteurs de Sciences et Avenir en 1991), ce jeune écrivain s'est imposé comme un maître original d'un nouveau style de littérature à cheval entre la saga d'aventures, le roman fantastique et le conte philosophique. Le Jour des fourmis, publié deux ans plus tard, traduit en vingt-deux langues, a obtenu le Grand Prix des lectrices de Elle et le Grand Prix des lecteurs du Livre de Poche 1995. Il a même été mis au programme de certaines classes de français, philosophie et... mathématiques. Pour lui, le travail de l'écrivain ne se limite pas à raconter une histoire, il consiste aussi à apprendre des choses à ses lecteurs. C'est la prolongation de son métier initial de journaliste scientifique.
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