Redouane Assari aussi connu sous le pseudonyme de Red One, est un auteur de bande dessinée d'origine algérienne, né le 5 juin 1952 à Alger. Il participe à plusieurs journaux en Algérie, au début des années 1970, dont le journal de M’Quidèch. Son style est très proche de Jidéhem ou Maurice Tillieux, notamment par une réalisation des voitures. À la disparition du journal en 1973, il retourne à l'anonymat. Le travail de ce journal est salué par la critique BD, notamment dans le fanzine Rantanplan et par le jury du festival de Lucca. Assari reprend le crayon en 1993 pour un journal culturel, le Jeudi d'Algérie. En 1994, à la suite de l'assassinat de dessinateurs par les islamistes, Assari s'installe à Paris. Après dix années passées dans le dessin publicitaire, il publie une collection de livres pour enfants : Tilou, créé par Fabien et Christine Theillier. Vingt-neuf albums sont publiés entre juillet 2004 et décembre 2005, avec la collaboration de Miguel Ramis pour le scénario et la réalisation des albums.
Texte © Wikipédia
Redouane Assari aussi connu sous le pseudonyme de Red One, est un auteur de bande dessinée d'origine algérienne, né le 5 juin 1952 à Alger. Il participe à plusieurs journaux en Algérie, au début des années 1970, dont le journal de M’Quidèch. Son style est très proche de Jidéhem ou Maurice Tillieux, notamment par une réalisation des voitures. À la disparition du journal en 1973, il retourne à l'anonymat. Le travail de ce journal est salué par la critique BD, notamment dans le fanzine Rantanplan et par le jury du festival de Lucca. Assari reprend le crayon en 1993 pour un journal culturel, le Jeudi d'Algérie. En 1994, à la suite de l'assassinat de dessinateurs par les islamistes, Assari s'installe à Paris. Après dix années passées dans le dessin publicitaire, il publie une collection de livres pour enfants : Tilou, créé par Fabien et Christine Theillier. Vingt-neuf albums sont publiés entre juillet 2004 et décembre 2005, avec la collaboration de Miguel Ramis pour le scénario et la réalisation des albums.
Texte © Wikipédia