Ivan Brunetti est indéniablement l’une des figures majeures du comics underground des années 90/2000, bien qu’il demeure « le secret le mieux gardé de la BD américaine » selon Chris Ware. L’hommage de cet autre créateur de génie n’a rien de surprenant : les deux auteurs ont beaucoup en commun, à la fois par leur sensibilité et leur vision, résolument noire, de la vie en général, et par leur exigence artistique. Grand admirateur du créateur de Peanuts, Charles Schulz, Ivan Brunetti publie régulièrement des illustrations et des strips dans divers journaux et magazines tels que The New Yorker, The New York Times, McSweeney’s… Il enseigne à l’université Columbia de Chicago, où il a organisé en 2005 une grande exposition de bande dessinée intitulée The Cartoonist’s Eye, travail qui s’est poursuivi par la direction de deux volumes anthologiques aux presses universitaires de Yale. L’édition française de Schizo 4, paru en février 2009, a été très largement saluée par la presse (Les Inrockuptibles, Télérama, Libération, Chronicart, Technikart, Arte…)
Texte © Cambourakis
Ivan Brunetti est indéniablement l’une des figures majeures du comics underground des années 90/2000, bien qu’il demeure « le secret le mieux gardé de la BD américaine » selon Chris Ware. L’hommage de cet autre créateur de génie n’a rien de surprenant : les deux auteurs ont beaucoup en commun, à la fois par leur sensibilité et leur vision, résolument noire, de la vie en général, et par leur exigence artistique. Grand admirateur du créateur de Peanuts, Charles Schulz, Ivan Brunetti publie régulièrement des illustrations et des strips dans divers journaux et magazines tels que The New Yorker, The New York Times, McSweeney’s… Il enseigne à l’université Columbia de Chicago, où il a organisé en 2005 une grande exposition de bande dessinée intitulée The Cartoonist’s Eye, travail qui s’est poursuivi par la direction de deux volumes anthologiques aux presses universitaires de Yale. L’édition française de Schizo 4, paru en février 2009, a été très largement saluée par la presse (Les Inrockuptibles, Télérama, Libération, Chronicart, Technikart, Arte…)
Texte © Cambourakis