Gaël Klein (pseudonyme Galou) est un éducateur spécialisé dans l’aide aux toxicomanes, Gaël a travaillé plus de dix ans dans un centre d’hébergement d’urgence de nuit pour usagers de drogue ; Confronté quotidiennement au désespoir du bas seuil de la société, comme on le qualifie, Gaël n’a trouvé d’autres échappatoires que de créer. Pour surmonter ses peurs, Gaël colle dans la rue tous les détails de son existence, comme autant de preuves de sa réalité. Artiste de rue, Gaël crée ainsi ses propres exutoires ; pour se protéger de la violence du monde des crackers, il se réfugie dans ses collages. « Quand je colle, je suis ailleurs ; j’ai l’impression d’être dans Alice aux Pays des Merveilles, chaque objet prend vie. J’offre une nouvelle chance aux petites choses de notre quotidien, je ne me résigne pas à laisser mourir des objets qui sont autant de traces d’une vie. Je fige ces détails dans une sorte d’éternité ». À travers ses collages, Gaël nous offre un regard tendre sur le monde et exprime sa fragilité. Pour prolonger ce partage, un collage continue sa vie quand l’acquéreur devient à son tour acteur de la toile. Il ne s’agit pas de la détourner, mais de lui permettre d’évoluer et de perdurer. « J’aime l’idée de laisser à chacun la liberté de pouvoir créer ». La contemplation des collages est surprenante ; à chaque instant, il y a un détail à découvrir. Le regard rebondit indéfiniment ; tout comme Gaël, il n’arrive pas à se poser, trop étonner à découvrir ce qui nous entoure. Artiste complet, Gaël est aussi dessinateur. Il a créé de nombreux personnages dont La p’tite Blan, un personnage de bande dessinée à découvrir sur www.laptiteblan.fr.
Gaël Klein (pseudonyme Galou) est un éducateur spécialisé dans l’aide aux toxicomanes, Gaël a travaillé plus de dix ans dans un centre d’hébergement d’urgence de nuit pour usagers de drogue ; Confronté quotidiennement au désespoir du bas seuil de la société, comme on le qualifie, Gaël n’a trouvé d’autres échappatoires que de créer. Pour surmonter ses peurs, Gaël colle dans la rue tous les détails de son existence, comme autant de preuves de sa réalité. Artiste de rue, Gaël crée ainsi ses propres exutoires ; pour se protéger de la violence du monde des crackers, il se réfugie dans ses collages. « Quand je colle, je suis ailleurs ; j’ai l’impression d’être dans Alice aux Pays des Merveilles, chaque objet prend vie. J’offre une nouvelle chance aux petites choses de notre quotidien, je ne me résigne pas à laisser mourir des objets qui sont autant de traces d’une vie. Je fige ces détails dans une sorte d’éternité ». À travers ses collages, Gaël nous offre un regard tendre sur le monde et exprime sa fragilité. Pour prolonger ce partage, un collage continue sa vie quand l’acquéreur devient à son tour acteur de la toile. Il ne s’agit pas de la détourner, mais de lui permettre d’évoluer et de perdurer. « J’aime l’idée de laisser à chacun la liberté de pouvoir créer ». La contemplation des collages est surprenante ; à chaque instant, il y a un détail à découvrir. Le regard rebondit indéfiniment ; tout comme Gaël, il n’arrive pas à se poser, trop étonner à découvrir ce qui nous entoure. Artiste complet, Gaël est aussi dessinateur. Il a créé de nombreux personnages dont La p’tite Blan, un personnage de bande dessinée à découvrir sur www.laptiteblan.fr.