Photo © Manuel F. Picaud / Auracan.com
Maximilien Le Roy est né à Paris en 1985. Les chemins de traverses concluent son travail sur la question israélo-palestinienne. Il fut à l'initiative de l'ouvrage Gaza, un pavé dans la mer (La Boîte à Bulles, février 2009), travail collectif sur les évènements des mois précédents. De ses deux séjours en Palestine, il tirera Faire le Mur (Casterman, avril 2010), l'histoire vraie d'un réfugié palestinien qui, par passion amoureuse, franchira le mur qui marque la frontière avec la Cisjordanie. Alternant voyages et dessins, il fait un tour d'Europe sur les traces de Friedrich Nietzsche, en prévision d'un album à paraitre en mars 2010 aux éditions du Lombard (Nietzsche, se créer liberté), basé sur un script cinématographique écrit par Michel Onfray. En 2011, toujours au Lombard, paraîtra Dans la nuit la liberté nous écoute..., ou le ralliement d'un soldat français à la résistance vietnamienne, au nom de ses principes républicains. Il signe aussi des scénarios sous le nom de Koza.
Texte © La boîte à bulles
Photo © Manuel F. Picaud / Auracan.com
Maximilien Le Roy est né à Paris en 1985. Les chemins de traverses concluent son travail sur la question israélo-palestinienne. Il fut à l'initiative de l'ouvrage Gaza, un pavé dans la mer (La Boîte à Bulles, février 2009), travail collectif sur les évènements des mois précédents. De ses deux séjours en Palestine, il tirera Faire le Mur (Casterman, avril 2010), l'histoire vraie d'un réfugié palestinien qui, par passion amoureuse, franchira le mur qui marque la frontière avec la Cisjordanie. Alternant voyages et dessins, il fait un tour d'Europe sur les traces de Friedrich Nietzsche, en prévision d'un album à paraitre en mars 2010 aux éditions du Lombard (Nietzsche, se créer liberté), basé sur un script cinématographique écrit par Michel Onfray. En 2011, toujours au Lombard, paraîtra Dans la nuit la liberté nous écoute..., ou le ralliement d'un soldat français à la résistance vietnamienne, au nom de ses principes républicains. Il signe aussi des scénarios sous le nom de Koza.
Texte © La boîte à bulles