Lilian Coquillaud tente les bancs de l’école de dessin mais s’en échappe vite. Il termine de se former seul aux techniques de dessins traditionnelles, de peinture et de couleur. il publie une première bande dessinée en 2011, Les peuples oubliés, avec Julien Berteaux au scénario (éditions Paquet). Lilian poursuit ensuite un travail protéiforme, brouillant les frontières entre les mediums et supports, de l’illustration papier jusqu’au digital en passant par le dessin live. En 2017, il reçoit le troisième prix de dessin Pierre David-Weill de l’Académie des Beaux-Arts de Paris pour sa série "Volca", l’année suivante le deuxième prix de dessin contemporain du musée Rigaud pour "Onde primordiale", et effectue en parallèle plusieurs résidences de bande dessinée à Perpignan, Albi et, récemment, au chalet Mauriac. Avec Battue, il explore, entre douceur des lavis et crudité des couleurs, un suave mélange de beauté violente.
Texte © 6 Pieds sous Terre
Lilian Coquillaud tente les bancs de l’école de dessin mais s’en échappe vite. Il termine de se former seul aux techniques de dessins traditionnelles, de peinture et de couleur. il publie une première bande dessinée en 2011, Les peuples oubliés, avec Julien Berteaux au scénario (éditions Paquet). Lilian poursuit ensuite un travail protéiforme, brouillant les frontières entre les mediums et supports, de l’illustration papier jusqu’au digital en passant par le dessin live. En 2017, il reçoit le troisième prix de dessin Pierre David-Weill de l’Académie des Beaux-Arts de Paris pour sa série "Volca", l’année suivante le deuxième prix de dessin contemporain du musée Rigaud pour "Onde primordiale", et effectue en parallèle plusieurs résidences de bande dessinée à Perpignan, Albi et, récemment, au chalet Mauriac. Avec Battue, il explore, entre douceur des lavis et crudité des couleurs, un suave mélange de beauté violente.
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