Signe aussi sou le pseudo de Richard Starck.
Donald E. Westlake, né en 1933 à New York, passe une enfance sans histoires, de même que ses études. Alors que son père lui prévoit un avenir d’architecte, lui ne pense qu’à l’écriture. Il décide de s’y consacrer dès 1958. Deux ans plus tard sort son premier roman, Le Zèbre. Ses cinq premières œuvres empruntent au thriller le plus classique, et ce n’est qu’en 1965, avec Le Pigeon d’argile, qu’il impose sa touche personnelle – un brin d’humour comme « moyen de faire naître l’émotion et la peur » – dans tous ses romans. Deux fois divorcé, il épouse Abigail Adams, également auteur, mais d’ouvrages sur le jardinage et l’Histoire. Il est le père de sept enfants et d’une centaine de romans, dans des genres très divers (polar essentiellement). Il écrit, entre autres, sous les pseudonymes de Richard Stark et Tucker Coe et plusieurs de ses livres ont été adaptés pour le grand écran par des cinéastes français.
Texte © L'Atalante
Signe aussi sou le pseudo de Richard Starck.
Donald E. Westlake, né en 1933 à New York, passe une enfance sans histoires, de même que ses études. Alors que son père lui prévoit un avenir d’architecte, lui ne pense qu’à l’écriture. Il décide de s’y consacrer dès 1958. Deux ans plus tard sort son premier roman, Le Zèbre. Ses cinq premières œuvres empruntent au thriller le plus classique, et ce n’est qu’en 1965, avec Le Pigeon d’argile, qu’il impose sa touche personnelle – un brin d’humour comme « moyen de faire naître l’émotion et la peur » – dans tous ses romans. Deux fois divorcé, il épouse Abigail Adams, également auteur, mais d’ouvrages sur le jardinage et l’Histoire. Il est le père de sept enfants et d’une centaine de romans, dans des genres très divers (polar essentiellement). Il écrit, entre autres, sous les pseudonymes de Richard Stark et Tucker Coe et plusieurs de ses livres ont été adaptés pour le grand écran par des cinéastes français.
Texte © L'Atalante