Signe aussi sous le pseudo Jacarbo.
Libraire, Jacques Arbeau (il utilisera son vrai nom et souvent son pseudonyme, transparent, Jacarbo), cet illustrateur à l'œuvre quantitativement impressionnante débute en 1949 par des illustrations de romans et de nouvelles dans L'Intrépide du Groupe Del Duca (avec le romancier Yves Dermèze, de Paul Mystère et de Paul Bérato, entre autres). En 1952, il se lance dans la BD et y mène une carrière assez dispersée. Dessins : Sous son nom ou celui de Jacarbo, il collabore à de nombreux magazines : Dop le Chien dans Reflets (de Villeneuve-sur-Lot, 1952), En Avant la Flibuste dans Junior (1954). En 1959, il hérite de la série Brik le Corsaire, créée par J.K. Melwyn-Nash et Cézard aux Éd. Aventures et Voyages. Collaborations diverses (illustrations, jeux, récits complets) dans Ima, Record, Fripounet, V. Magazine, Marius (histoires populaires), Formule 1, Tintin, Moi en Monsieur, Âmes Vaillantes, etc... (années 54/72). Le Roman de la Table Ronde est une longue épopée (630 bandes) dans laquelle Jacarbo a su développer un style semi-réaliste personnel. Elle est parue dans plusieurs journaux régionaux. Parallèlement, pour la presse quotidienne, il fait des bandes verticales didactiques pour Presse-Service-Magazine (sc. Édith Hare), il adapte plusieurs romans pour Paris-Jour (Accusé, Levez-vous !, Columba d'après Prosper Mérimée), L'Horloger du Diable pour l'Agence Mondial Presse, Le Roman de la Table Ronde chez Intermonde Presse et pour Le Républicain Lorrain (sc. E. Gratier, 1966),Truand et Gentilhomme (sc. Yves Dermèze, 1956) pour Franc-Tireur. Création de Perle dans Anouk (sc. Roger Lécureux,1967). En 1969, il entre à Lorraine Magazine et dessine les aventures de Mirabelle et Sauriné, ainsi que plusieurs contes Lorrains avec Jean Vartier. Ouvrages didactiques pour les éditions Chancerel. En 1974, à la mort de son dessinateur Al G., on lui propose de reprendre L'Espiègle Lili, personnage à succès à la destinée de laquelle il préside jusqu'en 1986. Pour Lili-Aggie Magazine, puis directement en recueil pour la S.P.E. (Société Parisienne d'Édition), il animera ce personnage (n°s 47 à 55), sur des scénarii de Paulette Blonay. Il en fait une jeune femme très moderne qui fait de la moto et résout de véritables énigmes policières, bien loin de la Lili de Jo Valle. En 1982, Arbeau s'est également vu confier le dessin d'une autre série illustre : Les Pieds Nickelés (sc. Serge Saint-Michel, 1982). Rubriques "Jardinage" et "Bricolage" dans Système D (dès 1981). Biographies en BD pour Fleurus (Anne Le Roy, Élisabeth de Surville, Émilie de Villeneuve) et pour Sadifa (La Force de I'Évangile). Des Pépins dans le Pruneau (1986) et La Disparue de Montgeron (1988) pour Imagi. Jacques Arbeau prend sa retraite à la fin des années 80.
Signe aussi sous le pseudo Jacarbo.
Libraire, Jacques Arbeau (il utilisera son vrai nom et souvent son pseudonyme, transparent, Jacarbo), cet illustrateur à l'œuvre quantitativement impressionnante débute en 1949 par des illustrations de romans et de nouvelles dans L'Intrépide du Groupe Del Duca (avec le romancier Yves Dermèze, de Paul Mystère et de Paul Bérato, entre autres). En 1952, il se lance dans la BD et y mène une carrière assez dispersée. Dessins : Sous son nom ou celui de Jacarbo, il collabore à de nombreux magazines : Dop le Chien dans Reflets (de Villeneuve-sur-Lot, 1952), En Avant la Flibuste dans Junior (1954). En 1959, il hérite de la série Brik le Corsaire, créée par J.K. Melwyn-Nash et Cézard aux Éd. Aventures et Voyages. Collaborations diverses (illustrations, jeux, récits complets) dans Ima, Record, Fripounet, V. Magazine, Marius (histoires populaires), Formule 1, Tintin, Moi en Monsieur, Âmes Vaillantes, etc... (années 54/72). Le Roman de la Table Ronde est une longue épopée (630 bandes) dans laquelle Jacarbo a su développer un style semi-réaliste personnel. Elle est parue dans plusieurs journaux régionaux. Parallèlement, pour la presse quotidienne, il fait des bandes verticales didactiques pour Presse-Service-Magazine (sc. Édith Hare), il adapte plusieurs romans pour Paris-Jour (Accusé, Levez-vous !, Columba d'après Prosper Mérimée), L'Horloger du Diable pour l'Agence Mondial Presse, Le Roman de la Table Ronde chez Intermonde Presse et pour Le Républicain Lorrain (sc. E. Gratier, 1966),Truand et Gentilhomme (sc. Yves Dermèze, 1956) pour Franc-Tireur. Création de Perle dans Anouk (sc. Roger Lécureux,1967). En 1969, il entre à Lorraine Magazine et dessine les aventures de Mirabelle et Sauriné, ainsi que plusieurs contes Lorrains avec Jean Vartier. Ouvrages didactiques pour les éditions Chancerel. En 1974, à la mort de son dessinateur Al G., on lui propose de reprendre L'Espiègle Lili, personnage à succès à la destinée de laquelle il préside […]