Née en 1985 dans une petite bourgade des Landes du sud, Marina déteste qu'on l'appelle Machina ou Déha, ce qu'on peut comprendre. Bien décidée à se faire un prénom dans la profession, elle rentre à Emile Cohl et y teste diverses techniques (dessin, sculpture, macramé) et différents outils (pinceau, plume, cuillère en bois). Actuellement en dernière année, elle envisage de travailler comme illustratrice, sur ses propres dessins ou comme coloriste, sur ceux des autres.
Née en 1985 dans une petite bourgade des Landes du sud, Marina déteste qu'on l'appelle Machina ou Déha, ce qu'on peut comprendre. Bien décidée à se faire un prénom dans la profession, elle rentre à Emile Cohl et y teste diverses techniques (dessin, sculpture, macramé) et différents outils (pinceau, plume, cuillère en bois). Actuellement en dernière année, elle envisage de travailler comme illustratrice, sur ses propres dessins ou comme coloriste, sur ceux des autres.