Né en 1968 à Roberval (Lac St-Jean), J-NV eut une enfance heureuse. « Je me souviens de rien. ». Alors qu'il a 10 ou 15 ans, il apprend que le journal Le Quotidien présente un concours de BD. Il y participe. Sa BD est publiée dans le journal. Pour lui, c'est le succès, Hollywood, les pantalons de lin, les après-midi de golf, etc. « J'étais adolescent, j'étais content, mais en vérité, je me souviens de rien. ». À cette époque, il s'intéresse davantage au dessin d'humour, principalement au gag visuel. Il aime les dessinateurs de Mad comme Don Martin et Sergio Aragonés et lit les Gotlib, Bretécher, Morris et F'murr. Puis il découvre Quino et Fred. « Avec Philémon, j'ai réalisé que la BD pouvait être autre chose qu'une histoire linéaire, comme une aventure de Tintin ou de Lucky Luke. C'est depuis ce temps que je me souviens enfin de quelque chose... Mais de quoi ? ». En 1988, il dessine une chronique dans le magazine Safarir intitulée À double sens unique. Immédiatement, ce fut le succès, Hollywood, les pantalons de lin, les après-midi de golf, etc. Un peu plus tard, il commence la série Ground et Gendron, mais cela ne dure pas. C'est lors d'un brainstorming à Safarir qu'il rencontre Denis Goulet. Avec ce dernier, il lance quelques projets qui seront de courte durée (Les enquêtes de Lido, L'île de Guy l'iguane) mais qui marqueront tout de même l'imaginaire de 2 ou 3 lecteurs. Puis Christian Daigle se joint à Goulet et lui : voilà les DGV Brothers et leur chronique Coup d'oeil (voir Goulet). L'aventure se termina par un recueil des meilleurs gags. À double sens unique expira en 1998, et La Face cachée des choses prit la relève. Aujourd'hui, J-NV nage dans le succès, Hollywood, les pantalons de lin, les après-midi de golf, etc.
Texte © BD Québec
Né en 1968 à Roberval (Lac St-Jean), J-NV eut une enfance heureuse. « Je me souviens de rien. ». Alors qu'il a 10 ou 15 ans, il apprend que le journal Le Quotidien présente un concours de BD. Il y participe. Sa BD est publiée dans le journal. Pour lui, c'est le succès, Hollywood, les pantalons de lin, les après-midi de golf, etc. « J'étais adolescent, j'étais content, mais en vérité, je me souviens de rien. ». À cette époque, il s'intéresse davantage au dessin d'humour, principalement au gag visuel. Il aime les dessinateurs de Mad comme Don Martin et Sergio Aragonés et lit les Gotlib, Bretécher, Morris et F'murr. Puis il découvre Quino et Fred. « Avec Philémon, j'ai réalisé que la BD pouvait être autre chose qu'une histoire linéaire, comme une aventure de Tintin ou de Lucky Luke. C'est depuis ce temps que je me souviens enfin de quelque chose... Mais de quoi ? ». En 1988, il dessine une chronique dans le magazine Safarir intitulée À double sens unique. Immédiatement, ce fut le succès, Hollywood, les pantalons de lin, les après-midi de golf, etc. Un peu plus tard, il commence la série Ground et Gendron, mais cela ne dure pas. C'est lors d'un brainstorming à Safarir qu'il rencontre Denis Goulet. Avec ce dernier, il lance quelques projets qui seront de courte durée (Les enquêtes de Lido, L'île de Guy l'iguane) mais qui marqueront tout de même l'imaginaire de 2 ou 3 lecteurs. Puis Christian Daigle se joint à Goulet et lui : voilà les DGV Brothers et leur chronique Coup d'oeil (voir Goulet). L'aventure se termina par un recueil des meilleurs gags. À double sens unique expira en 1998, et La Face cachée des choses prit la relève. Aujourd'hui, J-NV nage dans le succès, Hollywood, les pantalons de lin, les après-midi de golf, etc.
Texte © BD Québec