Né en 1974, Fabien Bertrand a grandi au milieu des tours bétonnées de la banlieue parisienne. Sa scolarité fut d’une remarquable médiocrité, puisqu’il n’a point de BAC (et vu son enthousiasme pour les études, c’est amplement mérité !). Après son service militaire et quatre saisons en enfer, il décida de se lancer corps et âme dans l’écriture ! Conclusion, il vivotait misérablement grâce à de petits boulots peu glorieux… Ainsi, il incarnait l’archétype même de l’auteur bohême, incompris, maudit, aigri, nombriliste, angoissé, dépressif, drogué, suicidaire, menant une vie de débauche et se nourrissant exclusivement de raviolis froids… Seulement, comme il avait réussi à se dégoter un four à micro-ondes en promo chez Darpy, Fabien mangeait ses raviolis tièdes… Ce qui lui permit de rester désespérément heureux, souriant, rigolo, aimable, optimiste, insouciant, rêveur et toujours de bonne humeur ! Bref, jamais il n’a endossé ce costume d’artiste glauque… Et c’est tant mieux ! Car… Aujourd’hui, il peut se pavaner de certaines réussites : Deux pièces de théâtre « Requiem pour une vodka » et « Papa, Maman, le Hauptmann et moi » publiées chez ALNA éditeur. Un court-métrage « 3 charognes et 1 tartare » et une série TV « Clash Tribu » en pré-production chez Les Chemins d’Orlac. Et en plus de cet insolent succès, Monsieur flâne à la campagne (à Etrechy dans le sud de l’Essonne à 45 km au sud de Paris) avec femme et enfant… NB : Si je parle de moi à la 3ème personne, c’est uniquement pour me donner une présumée notoriété que je n’ai évidemment pas. Et cela fait très chic !
Texte et photo © Les Enfants Rouges
Né en 1974, Fabien Bertrand a grandi au milieu des tours bétonnées de la banlieue parisienne. Sa scolarité fut d’une remarquable médiocrité, puisqu’il n’a point de BAC (et vu son enthousiasme pour les études, c’est amplement mérité !). Après son service militaire et quatre saisons en enfer, il décida de se lancer corps et âme dans l’écriture ! Conclusion, il vivotait misérablement grâce à de petits boulots peu glorieux… Ainsi, il incarnait l’archétype même de l’auteur bohême, incompris, maudit, aigri, nombriliste, angoissé, dépressif, drogué, suicidaire, menant une vie de débauche et se nourrissant exclusivement de raviolis froids… Seulement, comme il avait réussi à se dégoter un four à micro-ondes en promo chez Darpy, Fabien mangeait ses raviolis tièdes… Ce qui lui permit de rester désespérément heureux, souriant, rigolo, aimable, optimiste, insouciant, rêveur et toujours de bonne humeur ! Bref, jamais il n’a endossé ce costume d’artiste glauque… Et c’est tant mieux ! Car… Aujourd’hui, il peut se pavaner de certaines réussites : Deux pièces de théâtre « Requiem pour une vodka » et « Papa, Maman, le Hauptmann et moi » publiées chez ALNA éditeur. Un court-métrage « 3 charognes et 1 tartare » et une série TV « Clash Tribu » en pré-production chez Les Chemins d’Orlac. Et en plus de cet insolent succès, Monsieur flâne à la campagne (à Etrechy dans le sud de l’Essonne à 45 km au sud de Paris) avec femme et enfant… NB : Si je parle de moi à la 3ème personne, c’est uniquement pour me donner une présumée notoriété que je n’ai évidemment pas. Et cela fait très chic !
Texte et photo © Les Enfants Rouges