Née en 1948, Michèle Rozenfarb vit et travaille à Toulouse, terreau dans lequel ont germé son attirance pour l’étrange, son goût du métissage et son rejet de l’intolérance. Elle a publié plusieurs romans, pour enfants et adultes, notamment Chapeau (Gallimard/Série Noire, 1998) et Junkie Boot (Zulma, 2000).
« Dans l’écriture, je suis irrépressiblement poussée à mettre en scène des êtres plus ou moins déglingués. Cette attirance est en somme le tronc commun de mes trois activités de médecin, de psychanalyste et d’écrivain. Mon horreur du pathos va de pair avec un goût marqué pour l’écriture-caméléon qui, comme son nom l’indique, change de couleur en fonction du support. Pétrir et modeler la langue pour servir un sujet est au fond ce qui me passionne le plus. »
Texte © Éd. Zulma
Née en 1948, Michèle Rozenfarb vit et travaille à Toulouse, terreau dans lequel ont germé son attirance pour l’étrange, son goût du métissage et son rejet de l’intolérance. Elle a publié plusieurs romans, pour enfants et adultes, notamment Chapeau (Gallimard/Série Noire, 1998) et Junkie Boot (Zulma, 2000).
« Dans l’écriture, je suis irrépressiblement poussée à mettre en scène des êtres plus ou moins déglingués. Cette attirance est en somme le tronc commun de mes trois activités de médecin, de psychanalyste et d’écrivain. Mon horreur du pathos va de pair avec un goût marqué pour l’écriture-caméléon qui, comme son nom l’indique, change de couleur en fonction du support. Pétrir et modeler la langue pour servir un sujet est au fond ce qui me passionne le plus. »
Texte © Éd. Zulma