Après un Bac de compta, deux années de droit et le service militaire, Emmanuel décide de se lancer dans la bande dessinée. Heureux hasard, c’est à cette époque que l’atelier Gottferdom s’installe à Aix-en-Provence. Il s’y inscrit pour des cours et prend conscience, au contact des pros, de la masse de travail qu’il va lui falloir abattre. Par chance, le principe de l’atelier est propice à l’émulation et il aborde alors l’encrage, la perspective et tout ce qui s’en suit, pour enfin, décrocher une publication dans le Lanfeust Mag. À ce stade, Emmanuel tente la tournée des éditeurs à l’occasion du Festival d’Angoulême, mais sans succès... Il s’atèle alors à l’écriture d’un polar fantastique traitant du mythe du vampire. Christophe Arleston apprécie le projet et lui propose de le présenter à Soleil. Le dessin convainc, reste à adapter le premier scénario à de l’héroïc fantasy. Mission accomplie : le premier tome de « Nocturnes Rouges » paraît en Janvier 2001.
Texte et photo © Soleil
Après un Bac de compta, deux années de droit et le service militaire, Emmanuel décide de se lancer dans la bande dessinée. Heureux hasard, c’est à cette époque que l’atelier Gottferdom s’installe à Aix-en-Provence. Il s’y inscrit pour des cours et prend conscience, au contact des pros, de la masse de travail qu’il va lui falloir abattre. Par chance, le principe de l’atelier est propice à l’émulation et il aborde alors l’encrage, la perspective et tout ce qui s’en suit, pour enfin, décrocher une publication dans le Lanfeust Mag. À ce stade, Emmanuel tente la tournée des éditeurs à l’occasion du Festival d’Angoulême, mais sans succès... Il s’atèle alors à l’écriture d’un polar fantastique traitant du mythe du vampire. Christophe Arleston apprécie le projet et lui propose de le présenter à Soleil. Le dessin convainc, reste à adapter le premier scénario à de l’héroïc fantasy. Mission accomplie : le premier tome de « Nocturnes Rouges » paraît en Janvier 2001.
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