Mathias Fourrier est un auteur de bande dessinée français mais aussi, sous le pseudonyme de Jim Dandy, un passionné de comics américains. Les fans de french comics, qui plus est indés, ont en mémoire l'étonnant Capitaine LSD, de Jim Dandy. Un récit en noir et blanc au ton tragi-comique qui révélait une réelle profondeur en ne se limitant pas à caricaturer le genre super-héroïque. Paroles de l'auteur : "Je crois que j'ai fait de la BD pour garder une trace des choses qui me semblaient importantes (quand j'étais enfant) : retranscrire des histoires inventées par mon père, le film de La Guerre des étoiles (y avait pas de magnétoscope à cette époque, enfin pas à la maison), un album du Scrameustache vu à la TV dans Temps X ou Récré A2... Il y avait cette idée de garder une trace de ces choses qui m’avaient fascinées. Je crois que j’avais peur de les oublier, du coup je les dessinais de mémoire. Après ça j’ai découvert Strange et je ne rêvais plus que de Spider-Man. Pour résumer mon parcours je dirais que j’ai fait deux ans de Beaux-Arts à Tournai et après j’ai travaillé chez Semic, principalement sur Zembla et parfois avec Franc Oneta. J’ai aussi bossé comme scénariste à la TV sur des dessins animés (Iron Man et le Petit Nicolas) et j’ai eu la chance de réaliser mon premier album "Capitaine LSD" ainsi qu’un comic d'Ozark. Ça fait peu, mais j’ai toujours bossé à temps complet dans la restauration ou l'hôtellerie en parallèle. Je crois que je ne voulais pas faire que de la BD, car l’inspiration me vient de ce que je vis et un dessinateur reste beaucoup assis à sa table".
Mathias Fourrier est un auteur de bande dessinée français mais aussi, sous le pseudonyme de Jim Dandy, un passionné de comics américains. Les fans de french comics, qui plus est indés, ont en mémoire l'étonnant Capitaine LSD, de Jim Dandy. Un récit en noir et blanc au ton tragi-comique qui révélait une réelle profondeur en ne se limitant pas à caricaturer le genre super-héroïque. Paroles de l'auteur : "Je crois que j'ai fait de la BD pour garder une trace des choses qui me semblaient importantes (quand j'étais enfant) : retranscrire des histoires inventées par mon père, le film de La Guerre des étoiles (y avait pas de magnétoscope à cette époque, enfin pas à la maison), un album du Scrameustache vu à la TV dans Temps X ou Récré A2... Il y avait cette idée de garder une trace de ces choses qui m’avaient fascinées. Je crois que j’avais peur de les oublier, du coup je les dessinais de mémoire. Après ça j’ai découvert Strange et je ne rêvais plus que de Spider-Man. Pour résumer mon parcours je dirais que j’ai fait deux ans de Beaux-Arts à Tournai et après j’ai travaillé chez Semic, principalement sur Zembla et parfois avec Franc Oneta. J’ai aussi bossé comme scénariste à la TV sur des dessins animés (Iron Man et le Petit Nicolas) et j’ai eu la chance de réaliser mon premier album "Capitaine LSD" ainsi qu’un comic d'Ozark. Ça fait peu, mais j’ai toujours bossé à temps complet dans la restauration ou l'hôtellerie en parallèle. Je crois que je ne voulais pas faire que de la BD, car l’inspiration me vient de ce que je vis et un dessinateur reste beaucoup assis à sa table".